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:globe: République des îles de Feu :globe:

Un cor sonna au loin, résonnant contre les flancs de la montagne. Un bateau inconnu était arrivé dans la baie. Les patrouilleurs l'avaient intercepté à son arrivée, et il s'était révélé qu'il venait de la République d'Hora. Ni des amis, ni des ennemis. Les pirates du coin avaient déjà attaqué leur lignes de commerce par le passé.

Cependant, les gens des îles de feu n'étaient pas naturellement agressif si l'on venait en paix et sans objet de valeur chez eux. Parfois les étrangers venaient avec des propositions intéressantes. Et s'en était une. Le peuple était un peu lassé des piratages des lignes de communication, et là, venait de tomber du ciel une proposition des plus intéressantes.

Aussitôt ce fut l'éternel débat au Conseil, qui refusa de s'impliquer dans cette guerre. Cependant ils autorisèrent à l'unanimité la participation des clans dans la bataille selon l'habituel volontariat. Ainsi se furent près d'une cinquantaine de faction qui décidèrent de joindre leur force. A grand cris lors du Conseil des Capitaines, et après deux blessés, Raena la Blanche fut désignée Amiral de la Flotte de guerre dans cette expédition. Maîtrisant à la perfection les raids, et surtout dans les villes, elle était la personne toute désignée pour ce travail.

A peine 6 jours plus tard, près de 180 navires quittèrent le port de la Baie, emportant avec eux également des contingents de mercenaire avide de pillage.

:mac: Plan de bataille :mac:

Raena était une jeune femme forte, faisant partie du clan des Allaïkan depuis quelques années, elle avait été ainsi formée pour le combat navale. Elle avait eut du mal à gagner le respect de ses pairs; non pas en raison de son sexe, mais de son aspect. On ne l'appellait pas La Blanche pour rien, elle était née albinos, ce qui en avait fait une pièce de choix dans un bordel, avant qu'un raid des Anos de Belleville ne l'en libère. Maintenant c'était une combattante redoutée et crainte sur le champs de bataille.

Avec ses 180 navires, elle savait qu'elle pouvait sans problème faire plier la flotte ennemi. Même si ils en auraient 200 ou 300, elle pouvait les vaincre. La jeune femme se tourna vers une grande table à l'aspect usée, inspectant la carte qu'on lui avait dressé. Entrèrent alors une quinzaine d'individus, les différents officiers de formations désignés pour la campagne. Tous de clans différents, mais pour l'occasion ils allaient mettre leur griefs de côté, sachant que Qaithe les puniraient sévèrement en cas de guerre civile lors de raid.

-Amiral, votre plan donc?

-Bon les gars, j'vous explique. Le gros de l'armée ennemi est à l'intérieur des terres, ou en campagne chez nos alliés. D'après ce qu'on sait leur flotte de guerre dépasse pas les 40 navires, et de toute façon ils sont lents et nous avons le grégeois pour les anéantir en cas de problème. Vous savez tous comment l'utiliser en cas de nécessité?

-Te bile pas, on connaît la formation pour éviter de se brûler. Leur flotte nous fait pas peur.

-De toute manière ils doivent ignorer notre venue, ils sont trop occupés à l'ouest pour regarder leur côte. On va leur rappeler deux trois trucs. Donc on va se diviser en neuf esquadres. Mae, Lionel, Agba, Suleyman, Quang, Li mi, Laena, Rolf, etla dernière sera pour moi, vous en commanderez chacun une. 20 navires par escadre, avec ça c'est assez pour affronter leur flotte à eux, et si vous le sentez pas, filez, de toute manière nos navires sont plus rapide, on joue toujours sur ça. On les arrose, et au centre nos bélier pour les éventrer, on fout la pagaille, un peu de grégeois, et c'gagné.

-On connaît la chanson t'en fais pas.

-Bon on va se disperser sur la côte. Mae Lionel Agba, vous partirez ravager tout les villages et les petits ports. Leur milices seront trop faibles pour vous faire face. Vous débarquez de nuit ou à l'aube, ils comprendront rien. Suley et Quang, vous vous occuperez de ce port là

Elle désigne un point sur la carte.

- C'est un port relativement important, passez le à la torche. Moi et le reste de nos forces on ira s'occuper des ports de moyennes tailles. Vous risquez pas vous et vos navires si vous flairez un piège, c'est des vicieux en face, faites gaffe. Si on peut, enfoncer vous dans le territoire et massacrer moi tout ce qui vit, brisez les chaînes de nos frères et soeurs. Pour Qaithe et la République !

-Pour Qaithe et la République !

on est en 214 ap.gv

:globe: Confédération du Val :globe:

Hugues était las.

« J'ai réussi à finir humilié même par ces imbéciles heureux de Kaesos… et ce, parce que dans ma propre ville, une bande de brigands assassine LA personne à ne pas assassiner !, marmonnait-il tout seul dans ses appartements. Si j'étais roi de ce foutu pays, les choses se passeraient bien différemment. Et fini les complots à la noix !
En plus, je vais devoir me coltiner l'espion de leur fédération… déjà que les courtisans m'insupportent… Le soutien financier est sympathique de leur part, mais je dois vite faire de leur espion un décadent grassouillet, comme tous ces « Représentants » de Calanque, qui sont bien au chaud dans leurs manoirs au bord du Ranil au lieu de fouiner dans mes pattes. J'en ai assez, de cette enquête, de toute façon. Entre Mael qui ne m'apprend rien et le silence assourdissant du Khal'hefim, j'en ai assez. Il faut que je trouve une solution rapide. »

Hugues commençait à désespérer. Jamais on a pensé dire cela d'Hugues, mais tel était le cas. Il avait besoin d'aide. C'est pourquoi il réunit le Conseil grand-ducal.

Ce Conseil est une invention d'Hugues, il en a choisi personnellement les membres pour l'assister et le conseiller. Quant au Conseil de Calanque composé des Représentants de Calanque, Hugues ne l'a jamais convoqué, ça ne ferait que trop plaisir à ces nuisibles.

Hugues préside le conseil. Il fut élu Grand-Duc alors qu'il venait à peine d'hériter de la baronne de Mervins… D'une forte personnalité, cet homme manipulateur et assoiffé de pouvoir, il n'hésite pas à détruire ses opposants par tous les moyens, qui plus est en y ajoutant une pincée de sadisme si nécessaire. Mais Hugues n'est pas sans cœur, car il déteste plus que tout le flottement. C'est une des rares choses qui peut entamer son enthousiasme…

Aliénor est la maîtresse de Hugues, mais aussi sa secrétaire et dans une certaine mesure, sa conseillère et sa seconde. C'est la fille d'une des servantes du palais grand-ducal, mais sa personnalité manipulatrice a fait parler d'elle à la cour, jusqu'à ce que le Grand-Duc ne la repère...* Hugues l'a aimée par le passé, mais il en a fait un simple outil de son pouvoir, qu'il garde à sa disposition grâce au prétendu amour qu'il lui porte. Quant à elle, elle est totalement dépendante d'Hugues et ferait tout ce qu'il lui demande…

Philippe de Machecoules est l'intendant de Calanque. Il gère les finances de la ville et il possède une grande influence sur la gestion du port, même si cette tâche n'est pas de son ressort. Il est donc impossible de prendre une décision importante sans son aval, car son rôle dans l'économie de Calanque et par extension de toute la Confédération est crucial…

Charles Frappel est le chef de la garde de la ville. Mais il ne siège plus au Conseil depuis l'assassinat !

Chrysostome, le grand-prêtre de Ranis, siège au Conseil. Cet homme sans âge vit dans son temple, à prier ou étudier. Il dirige également la Grande Bibliothèque du Val, qui regorge de manuscrits et d'archives datant souvent d'avant même la Grande Vague… Cet érudit sait ainsi dater n'importe quel vieux manuscrit d'un coup d'oeil, sait lire presque toutes les langues du monde, devine les tenants et aboutissants des intrigues politiques, car l'histoire n'est qu'un éternel recommencement, et malgré sa grande sagesse, ce féru d'Histoire est passionnée par les conquêtes et les complots machiavéliques… Il en a d'ailleurs vu un certain nombre, à la cour grand-ducale, depuis qu'il est grand prêtre de Ranis…
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Chrysostome en plein office

Le conseil se réunit alors, après la tombée de la nuit, dans le froid de cette fin d'hiver, aux premiers jours de l'année 212…
« Chers amis, je réunis ce Conseil car j'ai besoin de soutien. Je ne sais plus quoi faire. L'enquête stagne, Kaesos va nous envoyer un pion, une secte commence à proliférer sur les bords du Ranil… Je vous avoue, mes amis, que je commence à perdre le goût du pouvoir, les affaires n'avancent plus, cette enquête ne porte pas de fruit… Il y en a assez. Donc à l'ordre du jour, je voudrais prendre rapidement une décision concernant l'enquête, et voir comment traiter le problème de cette secte.
- Si je peux me permettre, répliqua Aliénor, nous n'avons pas cherché des indices absolument partout, concernant la mort du Patriarche. Nous n'avons pas fait d'enquête approfondie pour connaître l'éventuel lien avec le trafic de noix de coco démantelé…
- Ahh ! Tais-toi, Aliénor, assez des enquêtes et des investigations ! Je veux une solution facile et rapide. Peu importe le criminel ! C'est une bande de pirates une vieille secte sur Ardh qui sont les responsables. Alors désignons rapidement un criminel, et tout ceci sera terminé !
- Je crois que le Grand-Duc a raison, dit Philippe. Le peuple de Calanque a besoin d'un coupable. Le peuple commence à bouillonner et perd confiance en le Grand-Duc. Désigner un coupable rapidement semble une solution facile pour achever cette enquête. Si vous voulez mon avis, c'est le Khal'hefim qui jouera parfaitement ce rôle. Beaucoup d'Arani, comme dit le peuple, sont impliqués, et vos relations diplomatiques avec ce pays ne sont pas excellentes, à ce que je sais. La Confédération ne risque rien, car la mort de Philozor concerne Kaesos, pas nous… Cela pourrait même engendrer un conflit entre ces deux pays…
- Mais en livrant le vieux de leur secte, ils ont résolu le problème… Ca ne fonctionnera pas…
- Majesté… vous savez bien que nous avons des preuves de ce que nous avançons. Le Vieux et son réseau de brigands n'est que l'outil utilisé par Arnan pour éliminer ses ennemis… et l'a liquidé lorsqu'il n'en avait plus besoin, et c'est de notoriété publique, même si ces lumières de Kaesos ne l'ont toujours pas compris… Par ailleurs, on sait aussi que le détroit de Zirael est l'objet de convoitises de la part du roi Arnan, ce qui pourrait tout expliquer…
- Philippe ?
- Oui, Majesté ?
- Merci… Merci ! Héhéhéhé, merci ! La voilà, cette solution ! En plus, ce n'est que la pure vérité que nous dévoilerons, héhé. Un problème de moins, et une division entre deux géants de plus ! Mais c'est beau, la politique. Bon, un problème de moins, Aliénor, vous m'écrirez une jolie petite lettre signée à mon nom à la Confédération de Kaesos. Ils gèreront eux-mêmes leurs différends avec leurs voisins… Donc, problème suivant, la secte de Ranil…
- C'est une « religion » qui prolifère de plus en plus sur les rives du Ranil, et se répand partout, même hors de la Confédération, comme une trainée de poudre. Pour le moment, elle ne pose pas de problème, d'autant plus que c'est aux barons de traiter de genre de chsoe, mais si jamais la secte décide de se retirer du monde ou de prendre les armes, il y a du souci à se faire.
- Merci de cet état des lieux, Aliénor. Que faire ? Un massacre ? Non, trop de convertis. Bon, alors je vais les laisser en paix, dit Hugues, se préparant à se lever de son siège.
- Hem, osa Chrysostome, de sa voix caverneuse. Je tiens à signaler que ce mouvement religieux est très intéressant. Pour avoir lu leurs écrits, ils sont très semblables à certains textes fondateurs d'avant la Grande Vague. La profondeur spirituelle de leurs pratiques est d'ailleurs très impressionnante. Comme vous le savez peut-être, le Zastérisme antévaguien…
- Ecoutez, on n'est pas là pour parler d'histoire, Chrysostome, rétorqua Hugues, exaspéré. Je crois que ce Conseil est désormais ter…
- Mais écoutez-moi, enfin !, réagit Chrysostome d'une voix forte. Comme je le disais, le Zastérisme antévaguien était la source de légitimité du Roi du Ranil. Il protégeait les croyants en tant que « main de Ranis » sur la Terre. Et cette nouvelle religion ressemble fortement à cette forme de Zastérisme. Voilà, c'est tout ce que j'avais à dire. Je pense que cela vous intrigue, Hugues.
- Nous en parlerons plus tard, je vous remercie, Chrysostome, Ca m'intrigue, effet. Ce Conseil est donc terminé. »

:globe: via Fédération de Kaesos :globe:

Membres de la Chambre des 10,
L'enquête concernant la mort du défunt Philozor est désormais terminée. Après maintes recherches, nous sommes remontés à la source de cette « secte des Arjabiyun », et nous avons des preuves irréfutables de son entière responsabilité dans la mort du Patriarche. Mais nous avons découvert des choses plus stupéfiantes encore. Arnan a combattu ce groupuscule car il prenait trop d'importance, mais nous avons établi des liens entre cette secte et Arnan lui-même, qui s'en servait comme bras armé de ses méfaits. Le fait que ce dernier ait voulu voulu tuer votre Patriarche n'est pas si étonnant, dans un contexte de convoitise concernant le détroit de Zirael.
Il vous revient de faire justice comme bon vous semble.
En toute amitié,
Hugues Ier du Val

:globe: Confédération du Val :globe:
Hugues et Chrysostome déambulaient dans les rayonnages de la grande bibliothèque de la Confédération. La poussière se soulevait derrière leurs pas, et on y respirait l'odeur si caractéristique du vieux parchemin, mêlée à celle de la cire consumée par les torches éclairant çà et là la pièce. Chrysostome s'arrêta net et sortit une boîte, identique à toutes les autres. Une odeur de bois et de poussière s'en dégagea lorsqu'il l'ouvrit.
Il sortit un petit parchemin, qu'il déroula et lut.
« Je ne me suis pas trompé. C'est extraordinaire !, dit-il, enthousiaste. Lisez ça, Majesté. Voyez par vous même !

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- Eh bien ?
- Eh bien… lisez donc !, répondit Chrysostome, d'un ton surpris
- Vous me prenez pour un vieux prêtre barbu ? Je ne peux pas le lire, répondit Hugues, agacé.
- Ah oui… j'oubliais que tout le monde ne lit pas couramment le ranilien du Deuxième Âge.… Alors je vais vous traduire approximativement ce texte en langue moderne. Mais avant, je dois vous remettre dans le contexte. Au VIIe siècle avant la Grande Vague, le futur Royaume du Ranil est divisé en une vingtaine de territoires dirigés par des seigneurs sans rapport entre eux. Ils se livrent des guerres incessantes, les paysans et mineurs croulent sous d'insupportables taxes. C'est là qu'Honorius, originaire de Calanque, sut rallier plusieurs seigneurs à sa cause et envahit le reste du pays. Il fut accueilli partout comme un libérateur attendu par une vieille prophétie ranilienne, car il venait libérer ces pauvres gens des guerres qu'ils subissaient sans cesse. Il enchaînait victoire sur victoire. Très rapidement, il fut considéré comme un Envoyé de Ranis pour répandre la justice, la « Main de Ranis ». Ce texte est donc le serment de double allégeance qu'il prononça lors de son sacre comme Roi du Ranil, voici la traduction :

« Moi, Honorius, fils du pays de Batia (nom ancien de Calanque), je Vous rends grâce, ô Ranis notre Guide, car les peuples du Ranil m'ont reconnu comme Votre Main. C'est grâce à Vous, par mon intermédiaire qu'ils furent libérés de l'oppression et de la terreur. Je prends aujourd'hui en charge, avec Votre divin assentiment, la sûreté et le bonheur de ces hommes, et les guiderai du mieux possible sur la voie du Zastérisme que Vous envoyâtes aux humains sur les rives du Ranil.
Et vous, peuples du Ranil, rendez grâce à Ranis, Celui qui m'envoya vers vous. Je suis sous sa protection, et Il me guide pour que je vous mène vers votre bonheur sur le chemin du Zastérisme. C'est pourquoi je jure de rechercher sans cesse le bien des peuples du Ranil, et de contempler Ranis en observant Sa volonté dans toutes mes décisions. Priez pour moi, cher peuple, pour que je reste sans cesse fixé sur la lumière que Ranis m'offre. Je prie notre Maître tout-puissant pour que mes descendants conservent eux aussi cette lumière. »
Voyez-vous, ce système théocratique fonctionnait parfaitement tout en permettant la prospérité, jusqu'à la Grande Vague et l'extinction de la dynastie des Honorites. Les gens pensèrent que Ranil avait décidé d'abandonner leur peuple. Alors s'en suivit une sombre époque, celle de l'antiranisme. Par colère, les gens abandonnèrent la pratique religieuse, brûlaient les Livres de Ranis, détruisaient ses temples et massacraient tout ce qui se rapportait à la religion. Lorsqu'un certain ordre social fut rétabli, cette fureur populaire se calma, et les populations recommencèrent à prier Ranis,mais la majorité des traditions anciennes furent perdues. Le Zastérisme ranilien disparut, pour être remplacé par le Zastérisme moderne répandu à peu près sur tout Isos, une forme très édulcorée et appauvrie du Zastérisme ranilien. Et il se trouve que sur les bords du Ranil, il se pratique depuis peu un Zastérisme paganisé, comme diraient les incultes, mais en réalité, ce Zastérisme est remarquablement proche du Zastérisme ranilien, avec toutes ses caractéristiques : estime de la nature, les Litanies de Ranis dites chaques jour, sacrifices de roses à Ranis, supplications à Ranis pour la paix des peuples du Ranil… Très étrange, pourtant, ces gens ne savent rien de l'ancien Zastérisme tel qu'il était pratiqué avant la Grande Vague. Peut-être Ranis nous envoie-t-il un signe ? Peut-être est-il temps de revenir au Zastérisme complet…
- C'est très intéressant, dit Hugues. Encore faudrait-il que Ranis existe… Mais je n'ai pas de sang Honorite. Jamais ces gens ne m'accepteront comme la Main de Ranis…
Attendez… j'ai des ennemis… les barons ! Ils ne sont pas franchement enclins à tolérer cette forme de Zastérisme. Libérer le Val des barons, c'est libérer les croyants de l'oppression…
- Je crois que vous allez trop vite, Majesté. Aujourd'hui, en 212, cette religion vient seulement d'apparaître. Les croyants ne sont pas encore majoritaires, et moi-même je suis en plein questionnement. J'ai toujours eu foi en Ranis, et je ne saurais dire si nous devons croire en ce Zastérisme ranilien rénové. Il m'enverra un signe, pour me guider vers la lumière.
- Bien, attendez votre signe divin, d'ici là j'aurais achevé ces barons en les lapidant à coups de pétales de roses, ricana Hugues.

:globe: Royaumes des Cinq Îles via Rédania :globe:

L'expédition des Quintes était un échec, le roi n'eut aucune nouvelle pendant 4 ans. En faite, l'expédition avait dérivée tout au sud de Kali et arriva sur des îles habitées par les kalkatis. A leur arrivée, les Quintes furent accueillis cordialement par les kalkatis, ces derniers montrant de l'or pour aguiser l'appétit des Quintes, les kalkatis firent des signes pour que les Quintes suivent les sauvages où il y avait encore plus de richesse. Mais ils étaient loin de se douter qu'ils étaient pas si naïfs, les guerriers kalkatis s'avançaient dans la jungle se cachant des Quintes suivant du regard l'expédition qui s'enfonçait petit à petit dans la profonde jungle. Les kalkatis savaient que les hommes qui avaient débarqué sont des Adules prêts à les conquérir. Les sauvages préparèrent une embuscade.
Mais 1 Quinte ne fut pas dupe et remarqua la jungle autours d'eux bouger, il s'engoufra hors du sentier et découvra des centaines de guerriers tapis dans les herbes prêts à combattre. Dès lors il coura prévenir les autres, mais fut tué, son cri se fit entendre. Alors l'expédition compris aussitôt le piège et tua les guides mais trop tard les sauvages attaquaient déjà de toute part, les Quintes furent très vite dépassés. Mais heureusement quelques survivants réussirent à s'en sortir dans la débacle et revenir sur les navires ou quelques Quintes étaient restés, ils partirent aussitôt on dû prendre seulement 2 navires avec le manque d'homme pour naviguer, les flèches lancées sur les navire, l'un des 2 navires prit feu et coula aussi vite. Le dernier navire s'en alla et décida de retourner au royaume pour indiquer les évènements. Les hommes mourraient de faim, s'embrouillant toujours dans les cartes, l'un disant une direction l'autre voulant aller à l'opposé, plus rien n'avait de sens sur le navire. Le voyage interminable dura des mois où les Quintes mourraient à petit feu, l'espoir les avait abandonné, ils attendaient seulement que la mort vienne les chercher pour en finir de cette souffrance. Le capitaine du navire se jetta à l'eau pour abréger ses souffrances dévorés par les requins.

Finalement la côte était en vue. Les hommes criait de joie malgré leurs gorges secs comme du roc. Les voiles étaient déchirées, ils ne pouvaient qu'attendre que le navire en charpi s'échoue sur la plage porté par les vagues. Seulement 40 Quintes survécurent à cette expédition, ils se rassemblèrent sur la plage, les uns commençant déjà à chercher de quoi se nourrir et de l'eau, d'autres encore à faire un feu et un petit campement. La nuit tombée, le feu éclaircissant les ténèbres, le groupe dormait. Mais soudain, une troupe les encerclèrent. Ils emprisonnèrent tout les hommes qui ressemblaient à des extra-terrestre, dans des peaux, fourrures avec de grosses barbes. Le chef de l'expédition après la mort des capitaines est Gundabar, il pria Ranis tout fort "Ô Ranis, suis nous dans les ténèbres, guide nous à l'est dans ton royaume, dans ta demeure céleste, nous sommes tes enfants, nous revenons maintenant à toi après t'avoir servir Toi et tes représentants, Ô Ranis viens prendre mon âme.". Les autres suivirent la prière croyant leur heure venue. Mais dès lors les étrangers alors s'étonnèrent ...

:gba: Rebellion de Ranis :gba:

La Reine se leva comme à son habitude. Le roi était surement parti chasser en ce 19 Erexio 216, le soleil tapait très fort, aucun nuage n'était en vu. La reine décida de sortir pour prendre l'air, elle fut accompagné de sa garde royale. Sa garde royale était composée de 10 guerrières, les meilleures du royaume. Elle traina en ville, acheta des bijoux, de la nourriture que ses servantes portait. Puis elle fut intriguée par un rassemblement, une femme criait sur une estrade.
- Ranis est notre guide, Ranis nous montrera le chemin, nous sommes à jamais perdu sur ces terres tel est notre châtiment. Rallions-nous à Ranis et libérons nos chaînes.
Soudain la garde intervint et prirent la femme de force avec eux. La foule criait à l'injustice, la liberté de parole. Mais les gardes n'en avait que faire, ils bousculèrent la foule. Tandis que la foule commençait à se dissiper, quelques hommes vinrent armés tuant un des gardes, les autres gardes sortirent leurs épées très vite et un combat s'engagea. La foule se rassembla de nouveau et les gardes furent lynchés publiquement. La foule s'arrêta aux portes du château et cria, mettant en place un blocus, le roi ne pouvait que contempler la foule crier. Le roi décida de descendre, et rencontrer les chefs de la révolte. Les chefs revendiquaient la décadence des Quintes, les orgies hérétiques qui s'organisaient. Le manque de foi des maîtres. Le roi promit des réformes, de changer tout cela, il promit que la décadence sera punit, que les orgies seront stoppées. Après le débat, la foule se dispersa de nouveau, laissant sur son passage les gardes lynchés.

A son retour Ragnar trouva sa femme dans la chambre en sang, elle avait perdu ses os, elle était enceinte enfin. Un héritier ou une héritière était en route pour garder la lignée. L'annonce de la nouvelle raviva la joie quelques temps dans le royaume, avec nombres de fêtes organisés. Ragnar fourmentait dès lors un plan ...

:globe: Kal'hefim Zerean :globe:

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Arnan Zerean

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- ou est elle ?
-dans la chambre monsieur le travaiul continue
- vizir VIZIR A GENOUX
- Mais Maitre ?!
- A genoux avec moi

les deux hommes se mirent a genoux devant la porte les paumes des mains ouvertes vers le ciel

- répète après moi vizir , o celui qui est , dieu de tout bénis mon enfant et protège ma femme , bénis ma maison et protège la , des dires , des regards des jaloux, fais de ma progéniture une noble descendance et accorde leur ta miséricorde et.., Vizir mais qu'est ce que tu fais bon sang je t'ai dis de répéter
- c'est a dire maître que voila cette prière ne vous concerne que vous je ne voudrais pas manquer de respect a votre royale personne en disant bénis ma femme alors que la reine ne l'est pas , bénis mon enfant qui ne l'est pas et...
- connais tu le pronom "il" en notre langue, vieux chameau ?
- Ah , vu comme ça ... je .. d'accord , prions dans ce cas
- ...Abruti...
Quelques instants s’écoulèrent et la chaleur du brasier prés duquel étaient assis les deux hommes se fit de plus en plus ressentir , le vizir ouvrit alors un œil et regarda discrètement Arnan qui semblait avoir trouvé la paix céleste , essayant alors de pousser le brasier du bout des doigts et peinait a l'atteindre
quand soudain
https://youtu.be/cwcpHFBxQMo
Arnan etait ebahi , ses yeux était si ouverts qu'on les croyait sorti de leur orbites
- Vi, Viz.
-Maître je , je m’excuse c'est que je n'ai pas bien digéré mon dîner je , je
- c'est bon ça suffit , dit Arnan accompagnant sa parole d'un geste de la main
les deux se relevèrent et dépoussiérant leur tuniques se firent interrompre quand la servante vint leur dire essoufflé courante dans le couloir
- maitre eh eh hh ma hgf
-Parle bon sang
- le bébé , c'est un garçon eh eh
Arnan se mit a courir , tellement vite qu'il en perdit sa coiffe , ses longs cheveux bruns se délièrent au vent et tel un étalon du désert chevauchant le vent parmi les dunes il courrait de toute ses forces pour rejoindre sa dulcinée
- Alienor! , oh mon Amour , dit il la regardant tendrement du seuil de la porte , tout le monde Dehors !
- Arnan Kafchalim ifran Zertog aranim ( Arnan tu es mon soleil )
- Zasta raknir irham ( et l'étoile de ma vie) , les deux s’embrassèrent avant de regarder Zakir dans les yeux
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https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2015/29/1437072329-fate-by-lorandesore-d6z7hjg.jpg
http://www.noelshack.com/2016-18-1462300610-baby-cradled-in-dad-s-hands-bic-ballpoint-pen-by-vianaarts-d4qjng6.jpg

:globe: Kal'hefim Zerean via Embarya Suryani :globe:

Salutations , Le Kalh'efim ne refuse jamais une main tendue et est heureux d'accepter donc votre amitié , un pacte de non agression et pacte défensive pour l'heure car au vu de vos dernières campagnes nous ne pouvons nous résoudre a vous suivre partout , de même le commerce des mines de fer et des épices serait le bienvenu sur nos marché et ferait baisser les prix de tata Huguette de Calanques
Bien a vous Arnan

http://www.noelshack.com/2016-16-1460992822-redania.png :globe: Royaume de Rédania :globe: http://www.noelshack.com/2016-16-1460992822-redania.png

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:gba: De biens étranges visiteurs :gba:

Un jour, sur une plage de Tóvsar alors qu'un groupe de pêcheurs revenaient de leurs pêche ils remarquèrent de la fumée s'élever dans les airs, intrigués ils s'approchèrent à pas de loups de la source et apperçurent un groupe d'homme, une quarantaine, au moins, discutant près d'un feu où étaient posés quelques tonneaux évantrés. Les hommes en question eux étaient massif, leurs barbes étaient hirsute et leurs habits en haillons. Les ayant prit pour un groupe de brigand, le groupe de pêcheur partit prévenir la milice local qui, plus tard dans la soirée vint armée jusqu'au dent déloger les fouteur de troubles.

Néanmoins ces derniers présentaient d'étrange caractère, tout d'abord le groupe de présumé brigand ressemblait a des Adules mais parlait une langue étrange qui ne ressemblait ni à du Valois, ni a du Kaesien, de plus le nom de Ranis revenait plusieurs fois dans leurs paroles terrifiés et pour finir ils n'avaient montrés aucun signe d'hostilité, étrange pour des brigands. Ils furent donc conduits devant le dirigeant de la province, le Grand Staryż, Yvan de Mervál dit Le Borgne, un ancien mercenaire ayant trouver le chemin de la foi dont nous reparlerons une autre fois. On lui présenta la situation, intrigué, il essaya de communiquer avec le groupe d'homme, ils étaient fatigués, affamés, puants et certains étaient terrifiés, leurs voyages n'a pas dû être des plus plaisant. L'un d'eux, qui devait être leurs chef lui expliqua qu'il avaient traversés un océan entier suite à une mésaventure avec un peuple méconnu des Rédaniens. Le Grand Staryż aurait aimé que ses interlocuteurs lui en disent plus mais il voyait bien qu'ils étaient à bout de force, alors il les invita à dîner, ce n'était rien de spécial, leurs visite étant imprévus et la nuit étant tombé ont leurs offrit le stricte nécessaire pas manque mais dans leurs yeux on pouvait voir qu'il s'agissait d'une bénédiction. Une fois leurs repas terminé on les invita à se coucher. Pendant ce temps, leurs hôte méditait, de qui pouvait-il bien s'agir? Tout portait à croire que ces hommes étaient des Adules du Nord, leurs physique, leurs langue, leurs croyance en Ranis... mais comment ont-ils fait pour arriver là? Cela fait des siècle qu'il n'ya pas eu de contact avec eux et l'emplacement de leurs ile est vague. Quoique il en soit il écrivit une lettre à la capital pour prévenir de la présence de ces étranges visiteurs sur le sol Rédanien, le Roi sera suremment tout aussi intrigué que lui.

Le lendemain il était midi que les invités de la veille dormaient encore, il fût néanmoins décider de les réveiller, non sans peine, c'est tout un emploi du temps qu fût mis en place pour eux. Tout d'abord on leurs offrit un bon bain chaud, il faut dire qu'ils en avaient bien besoin, puis on leurs tailla leurs barbes hirsute et on jeta leurs haillons pour leurs offir des habits neufs ainsi que des bottes en cuir. Pour finir, on les parfuma d'huile de rose, voilà que nos invités avaient déjà plus de prestance! On les convia ensuite au repas, bien plus rafiné que la maigre pitance de la veille. Ils mangèrent, ailes de poulet, pomme de terre avec une délicieuse sauce, puis on leurs proposa du poisson et d'autres fruits de mer, ils dégustèrent également des fruits des plus surcé, et pour faire passer le tout on leurs donna comme boisson de la bonne bière. Le repas étant finit et les convives rassasiés on discuta avec eux afin d'en savoir plus sur leurs aventure puis on leurs annonça qu'ils partaient pour la capital afin de rencontrer le roi des Rédaniens en personne. Ils saluèrent donc chaudement leurs hôte et quittèrent la province par la mer en direction du Duché de Sznedzko afin de remonter le Rosarin puis se dirigèrent vers Rédanopole où ils arrivèrent après une marche de quelques jours.

Là-bas ils reçurent un accueil similaire à celui qu'ils eurent en arrivant sur le continent, à savoir un bon bain bine chaud et de plats des plus suculents. Une fois le dîner achevé le Roi se tourna vers ses convives :

:globe: Via Visiteurs des Iles du Nord :globe:

J'espère que votre voyage à travers mon Royaume s'est bien déroulé, votre hôte m'a parlr de vous et je suis tout autnat que lui curieux d'en savoir plus sur vous. Alors d'où venez vous? Racontez nous votre histoire...

on est en 215

:globe: Royaumes des Cinq Îles Via Rédania :globe:

Les hommes mangeaient à leur aise, tous avec des couverts malgré le manque d'étiquette qu'on pourrait penser. Ils étaient affamés et mangeaient tout les mets délicieux de cet étrange pays. Gundabar prit la parole dans la langue des Quintes qui ressemblaient à celle des autres adules bien que très différentes. Mais ils pouvaient à peu près se comprendre.
- Je suis Gundabar, fils de Gundu, maître des Quintes. Une expédition a été lancé pour rejoindre votre continent, une légende d'après tout le monde mais les écrits étaient formels, un continent à l'ouest existait. Notre roi a donc lancé une expédition pour vous rejoindre et reprendre contact.
Puis il leur raconta toute l'histoire, les légendes des Quintes, la reine, le roi, les pillages en Kali et les ennemis jurés des Quintes : les kalkatis, des sauvages affamés de sang. Il dit que dans le dernier pillage ils avaient trouvé beaucoup d'or, jusqu'à remplir une salle entière du château. Il parlait des Quintes, peuple soumis aux plus riches, soumettant les kalkatis, guerrier dans l'âme, purifiant le monde des abominations hérétiques au nom de Ranis.
Soudain un autre guerrier prit la parole : - Je suis Ikor, fils de Ror et diplomates des Quintes. Je fais partie de la branche diplomatie du royaume ce qui me donne le droit de négocier avec tout dirigeant étranger. Je vous remercie au nom de tout les Quintes et je vous promet de vous rendre riche, Ô roi de ce royaume.
Tout les invités parlèrent tour à tour de leur vie, de leur famille. Ils racontèrent leur culture, leur religion qui devait être un peu différente dans la pratique.

http://www.noelshack.com/2016-16-1460992822-redania.png :globe: Royaume de Rédania :globe: http://www.noelshack.com/2016-16-1460992822-redania.png

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:gba: De biens étranges visiteurs II :gba:

Toute la pièce écoutait attentivement les histoires des étrangers et ce qu'ils avaient vécu était digne des plus grandes épopés, tout le monde était fasciné. La discussion dura des heures et finit tard dans la soirée, à la fin alors que tout le monde partait en direction de sa couche le Roi interpella le dénommé Ikor :

Votre récit était fascinant, c'en est presque incroyable que vous ayez survécu, j'imagine que vous tenez à rejoindre vos familles que vous n'avez point vu depuis longtemps, c'est pour cela que je vous propose de vous raccompagner chez vous avec nos équipages ainsi qu'avec une déléguation qu'en pensez vous?

Vous nous avez égalemment parler d'un peuple nommée le Kaltaki il me semble dont les terres regorgent de richesses, nous possédons également mainte ressources de luxe, peut être que nous pourrions discutez à ce sujet?

:globe: Royaume des Cinq Îles via Rédania :globe:

Ikor répondit au roi :
- Avec plaisir, notre roi sera ravi de notre succès au final. J'espère que vous avez des navires adéquats, car nous avons dû construire de nouveaux navires pour venir vous rejoindre. Voguons jusqu'à notre contrée et que notre amitié soit éternelle.
La troupe s'organisait déjà pliant bagage au bout d'une semaine. Les gens les regardaient bizarrement mais émerveillé de ces étrangers, la nouvelle était allé très vite et tout le continent d'Isos était au courant, un continent était à l'ouest, richissisme disait-on. La légende de l'El Dorado circulait dès à présent dans toutes les oreilles. Ikor et Gundabar remerciaient le Roi, la flotte partit avec 5 navires, en direction des îles. Au bout de 2 mois, ils arrivèrent à bon port, n'ayant subit que peu de perte, seulement 1 navire avait disparu lors d'une tempête on ne sait rien d'où il se trouve maintenant. Quand la flotte arriva sur le port, il y avait foule. Mais les Quintes revenant sentait un danger, il savait qu'il se passait quelque chose d'anormal. L'ambiance avait changé, l'air étouffait. Les troupes du roi se mirent en position de défense pour accueillir les visiteurs. Gundabar ordonna que les rédaniens restaient dans leur navire pour tirer au clair la situation. Le roi arrivait en grande trompe avait sa robe royal, il se pavanait devant les pauvres gens. Il rencontra Gundabar, et le félicita de sa réussite puis il fut surpris que des rédaniens étaient déjà là. Ils chuchotèrent entre eux avec la foule et les gardes autours.
- La situation est compliquée plusieurs révoltes ont éclaté et risquent encore d'apparaitre. Nous ne sommes pas en sécurité, surtout moi, ils m'en veulent, j'ai tout donné aux riches.
- Mon Roi, le peuple vous aime, il ne toucherait pas votre humble personne, vous êtes notre guide et vous avez vaincus les sauvages.
- Mon cher capitaine, nous allons inviter les étrangers pour voir ce qu'ils veulent.
Puis Gundabar et Ikor lui expliquèrent la situation. Ragnar avait eu raison, un continent, même plusieurs existaient à l'ouest. Son cerveau bouillonnait d'idées et d'ambition. Quand il retourna au château, la foule criait "Menteur ! à mort ! donnes nous notre dû ! à manger ! Plus de liberté !". Ragnar les ingnorait, il n'allait pas distribuer l'immense pillage qu'il avait gagné, ces misérables ne le méritaient pas, ils n'ont pas combattu. Soudain, sa vision se troubla, il failli trébucher, une foule de garde l'entourait tout à coup, la foule restant sans voix. Il regarda son torse, une flèche l'avait transpercé. Le monde semblait si sombre, ses yeux se fermèrent, les gardes formèrent un Schiltron en cercle autours du cadavre. La foule se dispersa content de l'acte de régicide.

Gundabar fut abasourdi de ce qu'il venait de se passer. Il s'excusa du désordre et de la vision que donne le royaume, la reine fit son deuil pleurant 2 jours entier. Les rédaniens étaient bien arrivé au château en sécurité. Les habitants étaient maintenant de nouveau calme mais pour combien de temps ? La reine prit le trône avec l'héritier dans son ventre. La reine distribua une petite partie des richesses du royaume à la population, elle réduit aussi les taxes. Pour satisfaire le peuple. On présenta aux rédaniens la salle où étaient entreprosé le butin du pillage puisqu'ils étaient venus pour cela. Dans la salle voisine était entreposé la miniature du nouveau navire, qui avait permis aux Quintes de naviguer en haute-mer.

:globe: Kal'hefim Zerean :globe:

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Arnan Zerean

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Par une après-midi chaude a Velhar Arnan et Zakir étaient dans la grande bibliothèque de Velhar un temple du savoir , mais il n’en fut pas toujours ainsi et pour lui enseigner en même temps que l’histoire , la religion , Arnan lu a Zakir qui avait maintenant presque 3 ans , quelques feuillets d’Alkitab

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Le Djelbel , est le lieu le plus saint du Wahhdisme , c’est la montagne ou fut révélé Alkitab au prophète Wahaddite dont on ne connais pas le nom il prêchait avec une capuche et disait toujours « peu importe ma couleur , mon visage , ma beauté , ou pas , je suis le serviteur de l’unique tant que par lui transcende ma foi » V35.5
les gens lui dirent alors , «comment croire un homme qui cache son visage et ses pensées ? » V36.5
« Qu’importe de me voir si vous m’entendez et qu’importe de voir mes pensées si vous voyez mon cœur ? »V37.5
Et dans un verset révélé il fut dit
- « Et rappelle-toi quand près de la montagne sacrée tu t’es tenu , appelant au bien et à la justice , tandis qu’un groupe de gens t’ai moqué , mais de ta réponse il furent saisi , de ta sagesse ébloui , marche dans les pas de la sagesse et va au Roi des Argani lui dire qu’il a transgressé ».V35.56

- Papa ca veut dire quoi trangréssé ?

- C’est transgressé et ca veut dire désobéir

- Papa ca veut dire quoi Zobeir ?

- Zobeir c’est le jardinier, désobéir ça veut dire ne pas écouter

- Merci papa.

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Les Wahhadites doivent effectuer une fois dans leur vie un pèlerinage a djelbel , la montagne de la révélation pour ceux qui en ont les moyens bien sûr , la première étape consiste a atteindre le grand monastère ou vivent les prêtres wahhadites , c'est eux qui accueillent les pèlerins et les préparent , ensuite l’adepte devra débuter son ascension jusqu’à la grotte du prophète et y passer 3 nuits et endurer le froid la faim et la soif , il y priera et méditera pour se purifier et se rassasiera par ses invocations, sans que personne ne le regarde ou ne l’aide car les adeptes ne devront pas s'entraider afin de ressentir ce que ressentait le prophète et ce uniquement 3 jours alors qu'il y vivaient modestement pendant 20 ans avant de se révéler au monde , les risques de morts sont élevé , mais ceux qui y meurent vont au paradis sans jugement ils sont considéré martyr et ceux qui réussissent comme ton grand-père qui est allé rejoindre les cieux se font absoudre de leur péchés et deviennent comme un enfant .

- Des enfants !! ?

- Non Ha ha pas des enfants, mais semblable au nouveau-né, sans péché, mais tu le comprendras
quand tu seras plus grand

Le Djelbel se situe à l’est de Ardh et est la plus haute montagne du monde qu’on estime a environs 17500 coudée, la grotte du prophète est à 2000 coudée et au-delà il y a les monts aux neiges éternels là où il fait tout le temps soleil , le détenteur actuel du Djelbel est le Kal’hefim Zerean.

- un jour quand je serais vieux, tout cela sera à toi mon fils

- ce jour-là je ferais construire un grand monument en Bonbon

- Ha Ha ! , nous verrons bien, maintenant va voir maman et sois sage

- Après est ce qu’on pourra jouer ?

- mmm , je sais pas si tu es sage je t’emmènerais faire un tour à cheval , ça te dis ?

- OUIIIIIIIIIIIIII

Les deux sortirent alors de la bibliothèque se tenant la main Arnan regardait son fils qui ne dépassait qu’à peine son genoux, et souriait se rappelant de son père faisant la même chose, son père qui lui manquait énormément voilà déjà 5 ans qu’il est parti, maintenant Arnan avait 30 ans et le temps passait vite

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https://www.youtube.com/watch?v=ZjeYkrSVe8E ( a ecouter )

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se promenant dans les jardins Arnan s'assit sur un banc afin de contempler son magnifique jardin , il était seul et le soleil se couchait petit a petit quand il voyait au loin comme une ébauche d'un souvenir lointain , lui et son père entrain de planter l'arbre la bas qui a grandi en même temps que le souverain , regardant le ciel , orphelin , une larme coula sur sa joue , "Baba Yezer tirka khal il rajin daro , charkaz zeleor veranim nezlan habib benet ini"
"pére , j'espere que la ou tu es , tu es fier de moi , car le poids de ce que tu m'as laissé , n’équivaudra jamais ton amour" et j'aimerais te dire que ...

- Maître !!! Maitre !

- oh putain .... , il sécha vite ses larmes

- Maître , un ho.. vous pleurez ?

- probablement une Allérgie , nous devrions abattre cette arbre

- NON ! je veux dire non , ce n'est pas la peine ca passera , allons qu'est ce qu'il y a

- un homme vous demande il dit qu'il a des nouvelles d'isos , il dit que les peuples d'isos et de contrée lointaines ont noué des relations

- mmm , bon j'écrirais a Rédan , tu peux y Aller

:globe: Kal'hefim Zerean via Rédania :globe:

Salutation Roi Rédan , j'éspére que vous vous portez bien , j'ai eu vents de quelques informations , on dit que des hommes aux yeux aussi bleu qu'un cristal sont arrivé il n y a pas si longtemps a votre cour , je me demandais donc s'ils connaissaient notre existence et s'ils était enclins au commerce ainsi que des informations sur leur territoire , je sais que cela est trop vous demander aussi , pour de si précieuses informations je serais prêt a faire des concessions économiques , militaire et politiques , aussi si vous nous introduisez a vos amis , nous pourrons vous compter parmi nos très bons amis .... et nous aidons beaucoup nos amis....
Arnan Zerean
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:globe: Empire Watonkaton :globe:

La Longue Nuit
-La nuit est à son terme, messire. Selon les prévisions des astronomes, le Dieu-Soleil devrait irradier le monde à ce moment précis.

Pourtant, l'aube ne venait pas. Pour la première fois de sa vie, Teoxihuitl était choqué, pétrifié. Il voyait l'horizon et seule la lune lui apparaissait. Qu'avait-il fait de mal? Cette année, les sacrifices avaient été encore plus nombreux que l'année d'avant, qui avait été une année particulièrement prolifique.

Dans les ténèbres, un prêtre hurla.

Le conseiller rappela l'empereur à la raison.
-L'apocalypse vient, messire. Nul ne peut y échapper. Pourtant, il existe un moyen... Seul le sacrifice du meilleur sang le permet. Tuez les tous.

Sur ces mots, il lui tendit un couteau d'obsidienne sanglant de sa main gauche. Le bras droit du conseiller était déjà traversé par une plaie béante, et lentement son sang s'écoulait en petits ruisseaux noirs sur les marches du grand temple.

Teoxihuitl courut alors, le poignard à la main, prêt à commettre l'irréparable. Dans un couloir, il trébucha sur le cadavre encore chaud de son plus fidèle serviteur, une fiole de poison à la main. Il ne s'arrêta pas pour pleurer sa mort. Dans un berceau, il trouva finalement le tribut que le Père-Jour lui réclamait. Sa descendance à peine sortie du sommeil, ses deux nourissons innocents et précieux. Il arracha les jumeaux de leur confort et sprinta vers le sommet de la pyramide dans un état de semi-conscience hallucinée.

Alors il sortit l'arme et sa main trembla un instant. Mais il le fallait. Pour que le Soleil se lève à nouveau et que le cycle éternel de la vie revienne.

Il fit son devoir, et c'est seulement lorsque le second fils fût aspergé du sang du premier que le jour se leva sur le massacre qui avait eu lieu au pied du grand temple. La lumière se refléta sur le couteau et un nouveau cycle s'ouvrit enfin. La Longue Nuit était finie, et l'empereur comprit alors avec horreur que beaucoup plus de sang devrait être versé lors du prochain solstice, ou sinon il en serait fini de lui et du monde.

:globe: Empire Watonkaton :globe:

L'an du tribut
Depuis le sacrifice de son fils, l'empereur était léthargique et sortait peu de son palais. Il avait confié son frère jumeau à une Hualhuitoni, afin qu'il soit éduqué et devienne un jour un combattant, mais aussi afin de ne plus revoir le visage de celui qu'il avait tué dans les traits de son enfant. Cependant, malgré sa culpabilité, l'empereur ne perdait pas de vue son rôle. Depuis ce solstice funeste, Teoxihuitl savait que le Dieu-Soleil lui réclamait un sacrifice plus grandiose que tout ce que Kali avait jamais connu. Ce sang dont le Père-Jour avait besoin, son empire ne pourrait pas le lui fournir seul. Seule une guerre pourrait lui fournir les coeurs battants dont il avait besoin pour satisfaire son Dieu. Et ses voisins du Sud, les Bagas, étaient faibles et avaient depuis trop longtemps présenté uniquement des offrandes ridicules au Dieu-Soleil. Demain dès l'aube, ses armées marcheraient vers leur capitale, incendieraient leur grand temple et ramèneraient autant de prisonniers que possible.

Plan de la guerre
L'empereur Teoxihuitl, qui a reçu une éducation militaire et stratégique des plus poussées, commandera ses troupes en personne. Son armée sera composée de 70.000 soldats d'infanterie légers, 60.000 soldats lourds, 20.000 archers ainsi que l'intégralité des 10.000 Quauhtin. Les forces en vaste surnombre de l'empire avanceront à travers le pays en laissant à chacune des cités qu'ils rencontreront un choix : accepter le règne suprême de Teoxihuitl ou mourir. Toutes les troupes de garnison qui se rendront et seront faites captives seront aussi bien traitées que possible, tous comme la population de leurs cités. Les villes qui refuseront d'obtempérer seront systématiquement mises à feu et à sang, et tous leurs citoyens recevront la promesse d'être sacrifiés au prochain solstice.

Le Temps est bloqué En 216 ap.gv

:globe: Empire Ubuntu :globe:

L'Empire :

Un des deux Grand Manitou est mort et la succession s'est bien passée. Le deuxième Grand Manitou a été sacrifié conformément à la tradition et ce sont deux des conseillers qui occupent désormais le poste. La première réforme qu'ils ont prise est la suivante : les différentes provinces de la Confédération Ubuntu posséderont désormais largement moins d'autonomie qu'avant : le pouvoir provincial est limité à la proclamation de petits édits provinciaux pour la réglementation locale et les armées sont désormais toutes unies sous la coupe de la Confédération Ubuntu. Le Grand Manitou se fait proclamer Seigneur des Seigneurs et Suzerain Suprême, les provinces deviennent des Ubuntustan et n'ont plus le pouvoir de choisir leur régime.

Tous les Ubuntustan sont mobilisés pour lever l'ost. Aux 140 000 hommes de l'armée régulière Ubuntu viennent s'ajouter 140 000 recrues levées. Le Grand Manitou demande à toutes les armées de se réunir dans tous les Ubuntustan pour parader dans chaque capitale de région. Il est en visite dans absolument toutes ces régions et invite les dignitaires de chaque province à la capitale. Après avoir rendu visite à tous les chefs provinces et les avoir nommé "gouverneur de l'Ubuntustan" (à l'exception du N'Afra des Igolides qui a un statut spécial), il leur a annoncé qu'il allait se proclamer Empereur des Ubuntu. Ils réunit l'intégralité des chefs de tribu, des savants, des des gouverneurs et des riches dignitaires à Walili où il fit un bref discours suivit de piètres festivité pour annoncer qu'il se proclamait Empereur. Le "Grand Manitou de l'ombre" est pendu le lendemain sur lettre de cachet de "l'Empereur des Ubuntu" messire Handja Ier.

L'instabilité présente entre les Sodani et les M'Butu allaient être réglées définitivement par l'Empereur. Il envoya ses 290 000 hommes faire des colonnes infernales dans les villages dissidents. En quelques jours, plus aucune tension entre ces deux Ubuntustan. Le bilan total est de 15 morts dans les rangs de l'Armée et de 250 000 civils massacrés ainsi que 500 000 réduits en esclavages. Réduisant la population libre de la région de moitié, les 500 000 civils restants sont tout simplement soumis au servage de riches dignitaires venant d'autres Ubuntustan et disposant librement de ces sombres merdes de Moricauds dégénérés n'appartenant même pas à notre race tant la vue de leur faciès inspire un dégoût profond.

L'inquisition :

Handja Ier se déclare être la "réincarnation d'Aba Ndogo", il souhaite rendre la religion Zuga comme culte exclusif dans le pays. Les Sodani, Molo Sodani et les Birbär ont l'autorisation de pratiquer le cutle Wahadite en l'échange d'une taxe élevée et dans les autres religions, les wahadistes, les zuga hérétiques ou les athées sont massacrés : bilan total 175 050 morts, plus le moindre syncrétisme religieux n'existe dans tout l'Empire et les révoltes wahadites sont écrasées dans le sang : la population wahadite ou syncrétique baise de 16% dans tout le royaume.

La guerre :

https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/20/1463439080-attaqueubuntu.png

L'Empereur, avec la mobilisation de ces 280 000 hommes, a décidé qu'il était temps d'étendre le territoire de l'Empire Ubuntu. La guerre est déclarée avec les Royaumes d'Adiba et d'Aslaba. Le motif indiqué par l'Empereur est le suivant, ces nations pratiquent une forme hérétique du Zuga. Au lieu de vénérer l'orthodoxie Ndogo et de suivre la voie d'Aba Ndogo et de l'Empereur Ubuntu, ils préfèrent vénérer les formes et délaissent leur pèlerinage au Kokuzitika. Leur mort doit être imminente. Deux armées sont déployées, la première armée commandée par Handja Ier agresse le Royaume d'Adiba par surprise au cours d'une journée. 140 000 hommes sont dépêches sur la frontière et la traversent avant de rentrer directement au cœur du pays. Trois grosses confrontations avec l'Armée adverses ont été prévues dans certaines des plus grosses villes du pays. Le reste des opérations consiste à incendier les champs, piller les campagnes et faire des prises de masse d'esclaves. Cette attaque ne concerne que la plaine d'Adiba, les montagnards sont laissés de côté et des émissaires leurs sont envoyés pour leur offrir du verre ou des coquillages qu'ils considèrent comme très précieux et ceci dans le but de les conduire à se révolter et à se constituer en Ubuntustan.

La deuxième armée est commandée par Ahamadou Nbolo, le plus grand général de tout l'Empire Ubuntu. Elle comporte également le nombre de 140 000 hommes qui vont cette fois ci attaquer le Royaume d'Aslaba. De la même manière, trois grosses confrontations avec l'armée ennemie sont prévues et le reste sera constitué de conquêtes, de pillages et de prises d'esclaves de masse dans le pays. Une armée plus au nord n'est pas chargée d'attaquer quoi que ce soit mais ne servira qu'à appuyer la suite de la campagne dans le Royaume d'Aslaba. Les soldats envoyés dans ce combat ne disposent que d'une solde normale mais il leur est promi, à l'instar des soldats de la première armée, que si ils remportent ce combat ils seraient augmentés et que des esclaves leurs seront offerts. L'objectif de l'Empire Ubuntu est de cumuler la prise massive de plusieurs millions d'esclaves, le massacre d'une grande partie de la population et l'asservissement des autres. L'Empire Ubuntu doit regner sur Enga et pouvoir effrayer le monde entier de sa puissance.

Simulation

La guerre du Soleil

Alors que le Dieu soleil venait darder de sa chaleur le monde, les armées de son Empereur se mirent en marche. Se traînant en une longue colonne aux couleurs multicolore, les braves soldats du Soleil marchaient vers le sud plein d'entrain, sûr de leur victoire prochaine sur l'ennemi.

Les cités du Royaume avaient eu vent de cette menace, et décidèrent de lever une armée aussi puissante que possible pour repousser l'envahisseur et tenter de les bloquer dans les collines au nord du pays, meilleur espoir de défense.

Aussi la rencontre eut-elle lieu dans un col étroit. Les soldats Bagas postés dans les hauteurs aspergèrent de tirs leurs ennemis, les regardant se faire massacrer plus en bas, projetant rocher et flèches sur eux. En moins d'une demi heure l'affaire était réglé, des milliers de morts gisaient en bas, et le reste reculait. Victorieux et fier, les loyaux défenseurs du royaume retournèrent en arrière annoncer la victoire. Mais ils se retrouvèrent face à près de 40 000 soldats ennemis mené par l'Empereur en personne. Ce dernier avait volontairement sacrifié 10 000 des siens pour permettre de contourner ses ennemis avec ses meilleurs soldats tandis que le reste tentait de passer par un autre défilé nettoyé avant d'arriver.

La bataille fut beaucoup plus égale, et malgré la supériorité numériques des Baga, ils furent vaincu, perdant une grande partie de leurs armées. La finesse de l'empereur couplé à ses troupes d'élites lui avait permit de vaincre assez aisément ces hordes de paysans armés. Après en avoir finit avec les vestiges de l'armée ennemi, ses osts fondirent sur les villes.

Beaucoup déposèrent les armes, encore plus résistèrent. Alors que la campagne était à moitié terminé avec un ennemi sur la défensive, l'empereur reçu une nouvelle. Le pays était envahi.

BILAN:

Watonkaton: 15 000 hommes
Bagas: Plusieurs villes perdus / 30 000 soldats + miliciens / des dizaines de milliers de civils massacrés ou capturés.

Résumé des Événements mondiaux de 216Ap.gv

A ISOS , se passe La Grande Enquête la fédération de Kaesos est proie au chaos , la fédération est sans chef depuis 2 ans et est aux mains du gouvernement transitoire , elle semble diplomatiquement coupé du monde , de meme la confédaration du val semble en pleine réformation religieuse une Forme ancienne de Zastérisme refait surface

A Atmera Rien de particulier a part la montée de tension entre les steppes et les royaumes voisins

A Ardh premier contact entre le Kal'hefim Zerean et Embara Suryani

A Enga , Le nouvel Empire ubuntu dominant a pris d'un revers la moitié du continent menant une politique raciste suprémaciste et Génocidaire , pousant certains Wahadistes a l'immigration massive

A Kali Tandis que les Adules des iles pillent et violent les Kaltaki s'entre tuent dans des guerres sanglantes faisant des milliers de morts

Bienvenu en 217 Ap.gv a vos claviers

:globe: Kal'hefim Zerean :globe:

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Arnan Zerean

"Happy New year"
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L'an 217 s'annonce favorable au Kal'hefim le palais royal donne un banquet en cette soirée du soltice d'hiver , Tandis que les convives festoyaient et se divertissaient Aliénor et Arnan se tenaient prés du balcon , quand le signal fut donné , c'est alors sous un ciel étoilé que Velhar s'illumina par des feux d'artifices provenant directement des caisses des marchands de la république du détroit de Farhenzo , les convives émerveillement alors du spectacle et comme un enfant perdu dans ses reves le Roi se dit que Rien ne pourrait gâcher la soirée
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Mais rien ne dure jamais....en pleine festivité avec une discrétion et une tenue quasi parfaite le Vizir vont susurrer a l'oreille d'Arnan quelques mot Facheux , des mots qui toutefois n'eurent aucun impacte immédiat sur Arnan qui continuait de sourire comme si de rien n’était
- Aliénor mon amour des affaires m’appelle , Zakir restes avec maman et regardes le spectacle
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Arnan continuait la comédie et saluait tout les convives chaleureusement jusqu’à atteindre le couloir ou un teint blafard éclipsa son sourire , marchant d'un pas assuré et quelques peu rapide dans les couloirs il dit calmement mais de facon lugubre
- Vizir , Réunis le conseil tout de suite et maintenant et dans la plus grande discrétion , n'attires pas la curoisité des convives et surtout ne gâches pas la fête
- Compris
Le vizir d'un pas calme avançait tranquillement , Tarkan qui regardait ce dernier et ayant remarqué l'absence de ce dernier etait inquiet se levant ainsi et rejoignant le Vizir il le saisit par le bras en souriant d'un air niais
- Héhéhé mon bon vizir comment tu vas allons discuter ,et s'approchant de son oreille il lui chuchota
- ou est mon frére vizir ? et que se passe t-il
- ne te faches pas Général ah , Messire Renag comment va votre femme ?
- Bien et vous vizir je vois que Tarkan vous a mis le grappin dessus Hahaha
- Ha ha ha ! veuillez nous excuser
les deux hommes marchaient vers la salle du conseil quand en chemin le vizir lui révéla tout
- QUOIII !
Tarkan pressa le pas et entra furieux dans la salle claquant la porte
- UN SEUL MOT DE VOUS MON FRERE ET JE LES OCCIS
- Du calme tarkan , du calme
- Désolé sire c'est a peine si j'ai pu le contenir jusqu'ici
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- JE VAIS EN FAIRE DES VOILES MOI DE CES NDOGO
- tachons d'attendre les autres membres conseil
Le temps passa et tous vinrent mais Tarkan ne voulut pas s’asseoir il etait trop énervé et regardait la fenetre tournant le dos au conseil
- Si je vous ai rassemblé c'est que l'heure est grave mon maitre éspion a rapporté que le Royaume ubuntu connu autrefois est devenu un empire , toutefois la question n'est pas la , car c'est le coeur serré que je vous annonce qu'on déplore un nombre grandiose de wahadites massacré on dénombre quelques milliers , nos fréres et soeurs Wahadites restant vivent quant a eux sous un impot écrasant et je ne sais vraiment quoi faire
Vizir diplomatique : coupons les relations diplomatiques , et nos affaires commerciaux
Tarkan : Par l'unique ou sont vos couilles marauds ? LA GUERRE
- mon frère calme toi et tiens toi , fais respect a ton rang bon sang
Vizir économique : ils nous fournissent des esclaves et nous de l'or monsieur ils ont plus a perdre que nous bien que nous ne pouvons nous passer de main d'oeuvre ou alors il faudra réviser la politique de castration
- eh bien je dois y réfléchir la confrontation direct serait une grande perte de temps et d'argent et avec une armée aussi loin je serais une proie facile aux bâtards qui m'entourent
Maitre espion puis je suggérer messire une ruse ?
- Parles donc
Maitre espion Nous pourrions user d'amis dans cette affaire
- Ha ! les Adules nous aider a protéger les Wahadites Ndogo ! Ha Hahahaha ne me tuez pas ! mon bon vieux
(l'assemblée se mit a rire)
Maitre espion Non maître , les Suryani , ils sont a proximité de Enga et je pense qu'ils ne diront pas non , ils cherchent la gloire et a se faire un nom parmi les grands , leurs aciers est bon on le leur achète déjà ils faut donc leur proposer quelques chose de nouveau , notre soie pour leur femmes et quelques coffres d'or
- Un véritable renard , et nous ferons d'une pierre deux coups , nous aurons un nouvel Allié et un commerce plus florissant et le problème Wahadite est réglé , Vizir de l'economie pouvons nous nous permettre une dépense supplémentaire ? tel que l'cceuil des réfugiés Wahadites
Vizir diplomatique ; c'est possible maître il faudra puiser dans l'argent consacré aux Chantiers de Vzlhar et ne pas faire de réforme trop coûteuse cette année sous peine de puiser dans nos réserves stratégique d'or , en attendant l'année prochaine , et laissez moi vous dire que pour le premier jour de l'année messire vous êtes bien gourmand
- Ne Vous inquiétez pas vizir Les Ndogo réfugiés devront le terminer aprés leur remise sur pieds ils termineront bénévolement toutes les constructions afin de nous rembourser et après ils seront libres
Vizir des affaires religieuses Messire mais nous avons le temple de l'unique a construire et j'aimerais que
- N'est ce pas dans Alkitab qu'il est dit que le riche doit aider le nécessiteux et l'opprimé celui qui fuit et celui qui aspire a la liberté et qui en plus de cela est un être soumis a l'unique ?
(tout le monde se tu)
Très bien la séance est levé

:globe: Kal'hefim Zerean Via Embara suryani :globe:

Salutations mon frère , je penses que tu as eu vents des massacres de nos frères a Enga et de ce nouvel empire bati sur le sang aussi , te demanderais je avec ma plus grande sincérité moi gardien de la montagne de notre prophète que les saluts de la paix soient sur lui de faire passer sur tes terres les Ndogo wahadites dont tu ne peux assurer la charge et si tu le peux alors c'est a ton honneur , aussi mon frére s'il faut brandir l'epée je serais le premier a te soutenir aussi voici i joint si tu les acceptes des contrats commerciaux entre nos deux nations ils sont a ton avantage de quoi renflouer tes caisses et te preparer au pire.
Bien a toi Arnan Zerean
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:globe: Empire Ubuntu :globe:

L'odeur du charbon brûlé :

[1] https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/25/1466650509-handjaier.png

"Je suis Handja Ier, le Roi des rois, contemple mon oeuvre, Ô Adiba et désespère !"

Menée par Handja Ier [1], la première armée sortait vainqueur de cette grande campagne mené contre le misérable Royaume d'Adiba. Après avoir tordu le cou aux dignitaires du royaume, après avoir asservi une grande partie de leur population et massacré une autre : l'Empereur était au plus haut de sa puissance. Régnant sur de vastes contrées fertiles et vidées de leur population, parfaitement habitables pour des colons Ubuntu, la confédération ne s'en était jamais aussi bien sortie lors d'une guerre : prouvant sa supériorité militaire et terrifiant par sa puissante armée tout le continent. Au petit matin, l'Empereur sort de sa tente. On peut encore sentir l'odeur du charbon brûlé qui émane des cases incendiées mêlée à celle des cadavres calcinés, enflé de vanité et dénué de toute mansuétude : l'Empereur n'était même pas pris de pitié pour l'immense tord qu'il avait causé. De retour dans la capitale de l'Empire, il décida d'aller voir les fruits qu'avaient porté l'inquisition dans les provinces Wahadistes et chez les athées.

"Où est votre messager et votre Dieu unique maintenant ?"

A la tête d'un détachement de 10 000 hommes, Handja Ier entra dans les provinces où les massacres avaient eu lieu : le travail avait été bien fait et les divinités de la nature étaient vénérés à leur juste valeur, les mescid étaient toutes incendiées et les syncrétiques pour la plupart déportés dans les provinces Wahadistes ou asservis. En entrant dans les provinces Wahadistes, ce qu'il constata le mis dans une colère bien plus profonde. Il voyait des cohortes de croyants quitter les provinces dans lesquelles ils résidaient : il les voyait quitter leurs terres en raison des taxes trop importantes auxquelles ils étaient subordonnés. L'empereur s'attaque violemment aux réfugiés en chargeant directement sur les convois de fuyards pour éviter toute fuite du pays, les frontières avec les autres nations étaient surveillées de près par des petits détachements de cavaliers et tous les fuyards étaient interpellés, fait prisonniers et jugés. Les plus forts étaient enlevés pour être jetés sur le marché aux esclaves et les plus faibles étaient exécutes. Au total, le nombre de wahadistes ayant quitté avec succès le territoire de la confédération ne dépasse, selon les estimations, pas la dizaine de milliers de personnes. Le cruel Empereur Handja Ier avait pour habitude de dire - avec un air dément et passionné - lorsqu'il s'adonnait à des massacres contre les Wahadistes "Où est votre Dieu unique ? Où est votre messager ? Où est votre alkitab ?". Pour mettre fin à ces massacres et à l'immigration de masse, l'Empereur décida de baisser la taxe destinée aux non-Zuga pour l’aligner sur la taxe destinée aux Zuga avec une différence d'environ un quart de plus.

Le baobab sacré :

[2] https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/25/1466652434-baobab-sang.png

Devenu de moins en moins lucratif du fait de la suppression des frontières entre Adiba, Aslaba et les Ubuntu et jugé trop "spirituel" pas l'Empereur Handja Ier, le pèlerinage au mont Kokuzitika obligatoire selon les Zuga appartenant au culte d'Aba Ndogo a été relégué par édit impérial au rang de pèlerinage surérogatoire. Désormais, un arbre [2} présent dans toutes les villes de l'Empire allait remplacer symboliquement ce pèlerinage : il s'agit du baobab sacré. Planté dans toutes les villes et dans les grands villages, il est régulièrement abreuvé par des sacrifices humains afin de maintenir un état de terreur généralisé dans tout l'Empire, prévenir le moindre soulèvement et rendre honneur aux divinités de la nature en leur offrant des âmes hérétiques à la gloire du baobab sacré. La religion Zuga selon la compréhension de l'Empereur Handja Ier se révèle bien plus violent et dévastateur que celui pratiqué traditionnellement dans la Confédération et ses alentours.

Du pain & des jeux :

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Globalement heureux des conquêtes et du tournant impérialiste de la nation Ubuntu qui permet des rentes bien plus grandes du fait de la prise massive d'esclaves qui sont une donnée économique de premier choix dans les Ubuntustans, une partie du peuple et en particulier de la classe moyenne reste moyennement satisfaite. L'Empereur, conscient de cette problématique décida d'employer les grands moyens pour s'attirer la sympathie des foules : des arènes de lutteurs vont être construites partout dans l'Empire : l'abondance d'esclave permettra de fournir des lutteurs et l'abondance de terres fertiles nouvellement acquises vont permettre le triplement de la production agricole nationale. Par conséquent, l'État achètera à l'aide de l'or nationalisé provenant de la province des Igolides de grandes parts des récoltes de ces nouvelles régions pour nourrir de façon totalement gratuite tous les travailleurs du pays lors de grandes sessions de jeux sportifs où ils pourront à l'occasion parier sur leurs lutteurs favoris. Ceci ayant pour effet de créer une passion pour le combat, le culturisme et pour le jeu dans le coeur des Ubuntu mais aussi de les satisfaire avec du pain et des jeux

:globe: Empire des Steppes :globe:
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L’air glacé des steppes occidentales d’Atmera envahit ses narines, un étranger ne sentirait que l’odeur de la neige froide dans ces terres glacées ou presque rien ne pousse. Mais Sansar Khan lui ne sent pas cela, le vend glacial frappe sur son manteau de fourrure, il ressent comme une tension dans cet air, la tension que dégagent ses hommes quand une guerre se prépare. D'autant plus que l’adversaire Outre-Azag n’était pas un adversaire de pacotille. L’Empire des deux Gorges, le dragon d’Atmera, l’Empire le plus puissant du monde. Des régions qui s’étaient récemment révoltés contre ce puissant empire avaient fait appel à lui. À l’Empire des Steppes qui pour la première fois des puis des années était uni à nouveau sous l’autorité de Sansar Khan. Oui la guerre était imminente. Sansar descendit de sa monture et rentra dans le temple de Balang-Amur, la Kurultaï allait prendre place.
Autour d’une longue table les différents chefs militaires, chefs de clans, hommes respectés de tous étaient assis, discutant du plan à mettre en place. Du plan d’attaque. Beaucoup croient en Atmera que les habitants des steppes sont juste des barbares sanguinaires sans cervelle qui veulent juste du sang. Ceux là se trompent lourdement, l’homme est façonné par son environnement et pas le contraire, et les terres des Steppes glaciales au nord et arides à leur extrême sud avaient su forger un peuple robuste, fier et combattant. Un peuple de tout temps isolé du reste du monde et pourtant qui inspirait la peur dans le coeur des autres, un peuple de guerriers oui, des guerriers sanguinaires c’était vrai. Mais en aucun cas des guerriers écervelés. Le millieu inhospitalier dans lequel vivent ces peuples les rendait bien moins nombreux que ceux du reste du continent, souvent en sous effectif dans les batailles. Le secret d’une campagne réussie est de bien la préparer. C'est leur préparation et leur stratégie qui permettaient de bien user du peu d’hommes qu’ils avaient et de gagner les batailles avec.
La Kurultaï rassemblait les différents chefs, Sansar Khan présidait cette assemblée depuis son trône. Partout dans la salle on sortait des cartes, plaçant sur elles des pions de bois représentant tel ou tel nombre de soldats et tout le monde élaborait des stratégies dans son coin pour les montrer au grand Khan. Les Kazans et les Sansaris chacun de leur côté, à créer des plans d’attaque selon leur propre vision de la guerre. Mais ces peuples se battaient différemment. Sansar le savait et commençait à perdre patience, il se leva et demanda le silence.
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“Comment voulez vous gagner cette guerre si vous ne travaillez pas ensemble? Si vous cherchez à construire des stratégies séparément comment les hommes pourront-ils être coordonnés et efficaces?”
Il se lève et marche tout autour de la grande table, continuant de parler.
“Nos ennemis savent que nous allons les attaquer. Nous n’aurrons pas l’effet de surprise. 40 000 hommes sont déjà prêts à en découdre en Gozeakha. Et nos ennemis se préparent à affronter la Horde. Nous devons utiliser les talents de chacun de nos hommes en symbiose avec les autres. Les armées des deux gorges ne savent pas ce qu’il vont affronter, ils savent juste que nous arrivons. Il nous faut être plus vicieux, plus malins qu’eux. Les Sansaris peuvent lancer des deluges de flèches à grande distance et sans descendre de leur chevaux, mais ne sont pas adeptes de la charge directe. Les Kazans et nos cavaliers béliers eux le sont. Les cavaliers béliers peuvent percer les lignes ennemies et permettre aux Kazans de charger dans les rangs d’ennemis avec des lignes de défense détruites et les massacrer. C'est ce que nous devons faire, exploiter les différents talents de nos troupes en symbiose.
Mais ce n’est pas en regardant des cartes et en déplaçant des cavaliers de bois sur des morceaux de tissus que nous élaborerons une stratégie. Une guerre se gagne par batailles. Nous devrons élaborer une stratégie pour chaque bataille, pour chaque lieu où se trouvera ladite bataille, pour chaque moment où elle aura lieu. Et ces cartes ne l’indiquent pas. Prenez vos hommes, prenez leurs chevaux, traversez L’Azag. Et là nous pourrons élaborer notre stratégie, bataille après bataille.”
La Kurultaï était levée, nous ne connaissions pas notre ennemi ni ses terres, comment élaborer une stratégie quand on n’a que des cartes et des suppositions? La vraie Kurultaï allait se dérouler en Gozeakha, 100 000 hommes du Khan allaient venir peu à peu grossir les rangs des troupes déjà présentes en Gozeakha, 100 000 Sansaris. Mais également 20 000 autres Sansaris dirigés par les chefs de guerre des autres tribus du nord et 15 000 Kazans du désert. La grande Horde n’était pas entièrement partie mais c’était déjà un nombre impressionnant de cavaliers qui allaient grossir les rangs en Gozeakha. Sansar Khan allait mener ses hommes jusque là bas, la guerre n’avait jamais été aussi imminente que maintenant.
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:globe: Empire Ubuntu :globe:

https://www.youtube.com/watch?v=L8XrWEjtDU0

La politique de blocage des fuyards entamées par l'Empereur est un échec, les 10 000 fuyards estimés se rapprocheraient plus d'un million de personnes qui se sont rendus à hauteur de 250 000 personnes vers les Suryani et à hauteur de 750 000 personnes chez les Zerean. L'Empereur Handja Ier est dépité de ce constat alarmant d'autant que ces personnes n'hésiterons surement pas à s'enrôler dans l'armée adverse par vengeance.

L'armée de fange :

[1] https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/58/Zuluchargegutt.jpg

L'armée Ubuntu était puissante et terrifiait tout le continent. Des nouvelles provenant d'espions en Ardh nous montraient clairement qu'ils levaient de vastes armées pour contraindre notre Empire à abandonner nos croyances et venger la brutale inquisition que nous avons mené à l'égard des wahadistes et des athées de notre Empire. Très bien, à cette nouvelle l'Empereur Handja Ier éclata d'un rire noir, il était plus heureux que jamais : ces incrédules d'Argani pensaient pouvoir défaire les puissants gardiens du baobab. Dans leur pays où leur prophète et leur Dieu les avaient comblés d'interdits et où ils vivaient dans l'oppression : ils pensent peut-être que leurs bonnes manières et leur civilisation allait les protéger d'une quelconque manière contre le génie illimité du Grand Manitou descendant d'Aba Ndogo et de la puissance de ses féroces "Amba" [1] ayant déjà mis à sac deux royaumes voisins. Qu'ils lèvent des troupes ! Grand bien leur fasse ! Avec nos terres fraîchement acquéries, l'or d'Aslaba, la nourriture d'Adiba et les millions d'esclaves et de nouveaux sujets du royaume Ubuntu : notre armée allait pouvoir gonfler ses rangs. Jadis forte de 280 000 hommes, l'armée appelée "Armée de Fange" en raison de la couleur de peau des Ndogo était désormais réduite à environ 182 000 hommes en raison des nombreuses pertes et déserteurs engendrées par la guerre.

[2] http://www.forumjv.com/hassanelbanna/forums/message/786930334

Il ne fallut que peu de temps à l'Empereur pour mettre en place le système militaire Ndogo avec ses casernes locales et ses garnisons régionales. L'avantage incroyable de l'armée Ndogo réside dans le fait qu'elle soit semi-professionnelle [2] et que par conséquent elle ne nécessite presque pas d'entretien tout en permettant de soulever des nombres énormes de troupes. Grace à l'adhésion des deux royaumes à l'Empire Ubuntu : l'Empereur estima que l'armée pourrait tripler voir quintupler en période de guerre (en raison des soulèvement d'irréguliers prévus par la charte militaire impériale), portant les effectifs de l'Empire de 420 000 à 700 000 environ répandus sur tout le territoire et ne nécessitant pas le moindre kopeck d'entretien confédéral. Bien entendu, on ne parle ici que l'armée des hommes libres (armée de Fange), en cas d'invasion par les chiens wahadistes : l'armée de Fange pourrait très bien se voir accompagnée de l'armée de Fonte composée qui pourrait elle dépasser en nombre toutes les armées du monde en raison du nombre incroyable d'esclaves présents sur le territoire.

:globe: Grande Fédération de Kaesos :globe:

:gba: Le Duel, 214 ApGv :gba:

Les mois défilaient et se ressemblaient ,les pauvres paysans voyant leurs champs et leur gagne pain être pillés et saccagés par des groupes d’hommes armée arrivant à tout va. De plus l’hiver fut rude et la récolte mauvaise, les maigres rations partaient rapidement dans l’approvisionnement pour les troupes. Les marchés des citées se vidaient à vu d’oeil et leurs attractions n’étaient plus qu’une légende circulante au gré des voyageurs.

Le gros de la guerre se déroulait dans les grandes plaines d’Aezorgue, au sud Est de Kaesos. 200 hommes par ci,400 par là, les groupes n’atteignaient jamais plus du millier d’hommes mais les affrontements faisaient tout autant de morts sur les champs de bataille. Les pilleurs qui venaient se gavé après ces combats s’enrichissaient en vendant dans les citées frontières ou même dans les pays voisins comme très souvent la Rédanie ou le Val.

La Seigneurie et la Foi se partageaient des forts , des villes , des camps et des parcelles de terres pendant jours et nuits , et sans cesse . La guerre s’enlisait comme un char à boeuf dans la boue, les soldats, miliciens et mercenaires des deux côtés étaient fatigués et épuisés par ce conflit qui semblait n’avoir aucune issus. le morale était au plus bas et les tensions s’intensifiaient entre les hommes de tout rangs . Entre les seigneurs, alors même que la Foi Ranilienne commençait à reculer et à s’essouffler dans les derniers mois du printemps. Les seigneurs de Kaesos , autrefois soudés comme le Roc, voyaient dans cette anarchie, un moyen de prendre l’ascendant. Des clans se formèrent et d’autres durent choisir de faire cavalier seule pour repousser la guerre. Malheureusement c’était sans oublié la Foi qui n’était toujours pas neutralisée et décida enfin de prendre avantage de cette situation qui se profilait pour eux ..

:gba: Sous l’oiel du traitre :gba:

Mais comme si cela n’était pas déjà difficile à gérer pour les seigneurs, des rumeurs semmèrent le trouble dans les esprits de la fédération. ils se racontaient que le Val accuserait L’Empire de l’Au delà du détroit comme l’appelle les paysans…
Kal’hefim serait accuser d’un terrible et misérable complot contre leur frère d’armes ,le Patriarche, mort dans des circonstances douteuses et qui leur a offert une alliance de prestige avec la fédération et donc serait la cause de tout ce conflit civile.. Mais c’était sans compter sur la réponse de l’Empire qui nous offrait ,en même temps de la missive, la tête d’un bocal d’un vieillard effrayé et pourri par les bestioles qui le rongeaient depuis son lieu d’émission. Peut être une pseudo preuve pour eux mais une insulte pour la fédération comme si elle allait gober aussi facilement cette vérité surement montée de toute pièce avec un pauvre vieillard innocent pris surement dans un bordel de leur citée.

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Celui qui reçu la lettre n’était autre que que le Seigneur de la grande citée fluviale de Pleylec à quelques coudées de la capital aux abords de la mer intérieur … Depuis le début du conflit, malgré sa puissante ville et milice, Malcolm restait neutre à toute opposition, laissant le libre passage à tout les groupes en échange d’or et d’aucun pillage sur sa ville et ses pâturage. Malcolm recevait toute les lettres destinées à la chambre des 10 ou encore au patriarche, Randal était depuis le début assiégée sans cesse, et donc les massages terminaient pour la plupart du temps leur épopée dans les mains du seigneurs Maire de Pleylec. Cette dernière était connu pour son port et son point d’ancrage vers les citées minières et mines d’extractions , presque toutes ces pierres précieuse ou non traversaient la ville. De plus la ville était connu pour son drapeau et la maison qui la contrôlait, La Maison des Tevylmenc et son célèbre faucon doré avec en fond , une carte du monde connu tissé d’un noir pur.

Malcolm était un homme très solitaire et orgueilleux , il ne supportait qu’on lui dicte ce qu’il devait faire, seul lui prenait décidait. Il s’était entouré de très peu de conseillers , seulement 2 , un homme plutôt âgée qu’il considérait comme son père et son mentor de toujours, et une femme, très proche de lui , qui réalisait toute sorte d’opération qui en devait point être ébruité et sortir de la discrétion la plus absolue. Malcolm tenait beaucoup en ces deux personnages puisqu’ils les représentait comme une famille qu’il n’avait jamais eu mais aussi car ils savaient à quoi s’attendre en l’accompagnant dans ses aventures.

Il était très autoritaire et ne supportait en aucun cas l’ échec. Sa milice était très fortement entrainées , elle était l’un des plus réputée de tout Isos. Il avait accumulé au fils des années une richesse bien supérieur au reste des seigneurs de Kaesos, il pouvait réunir alors des centaines et des centaines de mercenaires à tout moment, puisqu’il comptait les utilisés sous peu.. Malcolm n’aimait pas qu’on lui marche dans les pattes , c’est pourquoi il chargeait souvent Ekita , sa fidèle allié précédemment présentée , de mission secrète pour se débarrassé de ses ennemis et ou d’homme et de femmes qu’il l’empêchait de réalisé ses ambitions de conquête et de pouvoir.
Personne ne savait , il jubilait comme une enfant jouant dans l’herbe lorsqu’il ouvrit les missives des différents pays voisins et les pays concernés par cette affaire qui fit basculer Kaesos dans le chaos. Il avait pour le moment dans l’ombre placé ses pions jusqu’à provoqué la mort de son patriarche, il avait engagé sous un intermédiaire les tueurs … désormais il devait entrer en jeu et imposer son pouvoir dans Kaesos …

Alors il prit sa plume et joua de son jeu favori ...

:mac: Intermédiaire de Kaesos via Confédération du Val :mac:

Cher Roi,
J'ai bien reçu cette missive, malheureusement il y a peu ! Car comme vous le savez mon pays est en proie au chaos et à la guerre après le meurtre de notre guide et les missives n'arrivent plus à al capitale aussi vite et doivent pour la plupart s'égarées ..

Vous donnez ici des informations précieuse quant à qui nous devons vraiment avoir confiance ou pas , vos preuves sont accablantes et c'est sans nulle doute que je vois le lien avec le tyran de l'Empire Kal'hefim ...
Mais nous devons être transparent avec vous voisins du Nord, ces perfides Sudistes nous ont eux aussi envoyés des "preuves" qui semblerait que ce ne soit pas eux les coupables et que vous nous (d'après eux) bernés depuis le début avec votre enquête ..
Bien entendu je ne crois pas un traitre mots de leurs sordides et j'ose espérer en vous un allié fidèle pour les tensions grandissante dans ISOS qui se prépare contre eux ou même dans mon propre pays..

En espérant que vous approuvez notre alliance, amis du Nord, soyez heureux et que la fortune vous souris ..

Puis désormais il passait aux Kal'hefim

:mac: Intermédiaire de Kaesos via Kal'hefim :mac:

Majesté, c'est un honneur de vous écrire aujourd'hui, votre missive a finalement pu atterrir entre de bonnes mains malgré le chaos qui règne ici comme vous vous en doutez !

J'ai reçu en plus de celle ci , votre "cadeau" en bocal et avec ceci les preuves accablantes qui nous donne enfin une vérité sur ce mystère.
Mais je me dois d'être honnête avec vous, j'ai reçu peu de temps avant la votre un missive d'un destinataire inconnu vous accusant de manipulation envers la fédération et des "preuves" relatant des liens proches avec une "secte" et cette tête d'homme impliqué dans l'assassinat de notre guide.
Bien entendu soyez en certain que mon esprit n'a point été corrompu par ces tentatives et je compte sur vous pour être à mes côtés si un pays ou même des tensions apparaissaient alors dans le futur en l'honneur de nos relations commerciales et de notre mariage qui , je tien à vous assurez qu'il compte et comptera toujours aux yeux de la fédération temps que les liens de ce mariage prolifique ne soit brisés par la mort d'un des mariés ..

Force et honneur mon ami ...

:globe: Empire Watonkaton :globe:

La Blessure
Alors qu'il combattait bravement les vils Bagas à la tête de son armée, l'empereur fut surpris par un acte de bravoure imprévu. Un talentueux archer Baga était parvenu à l'atteindre à la tête. Gravement blessé, la flèche plantée entre les deux yeux, l'empereur fût ramené à l'arrière du front afin d'être soigné par des érudits. Alors que ses soldats désespérés le croyaient mort, l'empereur fit un retour triomphal, avec une balafre sur le front, et les poussa à retourner au combat. L'empereur dit se porter bien et la blessure semble ne pas avoir laissé la moindre séquelle. Pour le moment...

Les Quauchés
Les Quauchés sont le peuple des îles d'Alya, au sud du territoire des Bagas. Ce sont des sauvages qui vivent dans la profonde jungle et n'honorent pas le dieu soleil, mais ont des origines communes avec les kaltakis. Pour ces raisons, les Bagas ont durant des centaines d'années tentés d'exterminer jusqu'au dernier les Quauchés. Cela se solda par des échecs successifs, les Quauchés étant d'excellent pisteurs et assassins connaissant la jungle à la perfection. Toutes les expéditions que les Bagas envoyèrent disparurent dans la jungle, leurs hommes empoisonnés et morts de faim, les corps de leurs chefs réutilisés afin d'orner les idoles païennes que les indigènes vénèrent. Mais contrairement aux Bagas, Teoxihuitl est un leader avisé. Ou, du moins, ses conseillers sont plus avisés que lui. Il décida donc de parlementer avec les Quauchés. Finalement, lui et les sauvages arrivèrent à un accord : ils intégreraient le Dieu Soleil dans leur panthéon et feraient profiter à l'empire de leurs talents de pisteurs et d'empoisonneurs en fournissant 100 assassins entraînés et en bonne condition physique tous les 10 ans du calendrier solaire. En échange, ils disposeraient d'une relative autonomie et seraient protégés contre toute invasion.