Topic officiel

:globe: Confédération du Val via Fédération de Kaesos:globe:

Patriarche Philozor,
Sachez que, le Grand-Duc vous l'a dit, nous n'avons aucune mauvaise intention militaire concernant votre Fédération. La Confédération a simplement refusé un traité d'entraide militaire. Mais qu'à cela ne tienne, cela n'empêche pas le renforcement de nos liens commerciaux au bénéfice de nos deux économies, c'est pourquoi je vous propose une diminution de 5% de taxes passant par le Val en provenance de la Fédération de Kaesos, et je vous demanderai en échange la même détaxation concernant les marchandises du Val.
Egalement, vous savez que le Val vit sur la production de métaux et de minéraux, c'est pourquoi nous vous proposons un accord de loyale concurrence permettant de fixer des prix plancher concernant la vente de ces minéraux, pour éviter l'effondrement des prix et la régression économique dans nos deux nations.
Philippe de Machecoules, Intendant de Calanque et régent de la Confédération en l'absence du Grand-Duc Hugues Ier.

République de Farenzho et Confédération du Val

La chute du Loup Furieux :
Partie I : L'arrivée des Lions
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Le claquement des sabots sur le sol de la route campagnarde, compressé et endurci par les innombrables allées et venues, rythmait la marche de la petite armée qui marchait sur Fort Furilupes.

Le Fort, ou plutôt le village, vu que les rempart sont inexistants, est composé d'une ribambelle de bâtiments disposés de façon anarchique, presque tous en bois, hormis la demeure du vieux Giovanni Merillo qui domine le reste.

Les éclaireurs ont estimé au nombre de 450 personnes vivants dans à Furilupes et ses alentours, mais ils semblerait quand dans la panique, tout ce beau monde ce soit tassé à l'intérieur, prêts à se défendre, coûte que coûte.

Du haut de la colline sur laquelle les hommes du Val et de Farenzo se sont installés, on pouvait observer que le village se contenait dans un plan rectangulaire, suivant le tracé des anciennes murailles du Fort. Il était parcouru par une large route, formant une artère qui divisait le village en deux parties assez distinctes.

- Brenno et Donatello, vous suivrez directement la charge de la cavalerie que vais mener avec le Grand-Duc Hugues. Et rappelez vous, aucun tir sur l'artère principale, ordonnez à vos gars de viser de potentiels cibles sur les toits et descendez les fuyards. Une vingtaine de nos cavaliers resterons à leur cotés, au cas où.

Puis Aurellio s'adressa au Duc :

- Concernant vos miliciens, ils forceront dans le village de l'autre coté, ils vont faire un détour de l'autre coté, en passant par le bosquet, à l'ouest, pour cacher leur mouvement. Il prendront à revers les hommes de Giovanni, qui seront déjà ébranlés par la charge que nous mènerons. Bref, je me répète, nous avions déjà discuté de ceci à Barbel.

Il dit d'un ton fort.

- En marche ! Nous lançons l'assaut tout de suite !

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:globe: République de Farenzho :globe:

La chute du Loup Furieux :
Partie II: La Charge
https://www.youtube.com/watch?v=mVKPvspyyyQ

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- Fozye Republika !
- Fozye !

Hurlant à l'unisson, les chevaliers entamèrent leur charge. Le bruit fracassant des sabots des destriers de guerre faisait trembler le sol, et les Pur-Sang déglutirent à la vue de ce tempête d'acier fondre sur eux. Il se compactèrent, décidés de tenir le coup.

Le cliquetis des armures se faisait de plus en plus intense, et les lances furent couchées.

Quelques secondes plus tard le choc assourdissant retentit, mêlé à des cri de douleurs.
La lance d'Aurellio se rompit au contact, empalant un bougre sur le coup. Il dégaina son épée, et tailla dans la masse humaine désespérée qui l'entourait. Tel un danseurs, son bras traçais des courbes harmonieuses dans l'air, s'élevant puis fondant vers le bas, dégoulinante de sang, poisseuse, mais non sans éclat.
Il essaya de rester le plus prêt de Hugues, au cas où il se ferait désarçonner. Il s'enfoncèrent profondément dans l'artère du village, et repoussèrent une partie vers le fond du fort, où les miliciens surgirent comme mille démons assoiffés de tripes et de sang.

A leurs talons les soldats sfrarenzis commencèrent à leur tour le massacre, achevant brutalement ceux qui avaient évité la charge écrasante. L'odeur du sang fouettait les narines des combattants, redoublant leur ardeur et leur sauvagerie.

Aurellio descendit de son destrier, secoua son épée pour enlever le sang qui la maculait. Un carnage, c'était la seule chose qu'il pouvait dire de ce qu'il avait vu. Sa botte écrasait de temps en temps des intestins ou quelque main qui a été égarée, son possesseur gisant sur le sole , le crâne ouvert ou complètement réduit en bouillie par les chevaux.

Il rejoignit Hugues qui regardait, absorbé, une femme morte à ses pieds.

- Hugues, il est temps de sortir le loup de son terrier.

:globe: Confédération du Val :globe:

Partie III : La Milice Sauvage

L'heure était venue. Une fois en scelle, Hugues Ier chevaucha pour la première fois aux côté d'un grand souverain du monde, non sans superbe...
Ce Sfarenzi était efficace, pensait-il, et un ami à ne pas perdre...

(musique d'ambiance)
https://www.youtube.com/watch?v=j6LpsCCzebs

Une fois devant le fort, la charge fut sonnée. Les cavaliers s'élancèrent sans pitié sur ces bandits rouillés. Ils s'agitèrent de tous les côtés, fuyant vers l'ouest pour la plupart, en criant de toutes leurs forces, priant Ranis de les sauver. Un, qui n'en croyait pas ses yeux, resta stoïque. Une épée trancha quelques secondes plus tard sa gorge, centimètre par centimètre, Première flaque de sang.
Mais lorsqu'ils s'approchèrent de la palissade ouest, celles si se brisa. Les miliciens, armés jusqu'au dent, criaient "BWAAAAHHHHH", fonçant sur leur chair à pâté avec épées, haches de guerre, masses d'armes, et même leurs dents. Ce fut le carnage. Se précipitaient dans leurs bras quelques vieux affolés, dont brisaient les nuques avec un plaisir incommensurable. Au fur et à mesure que les cavaliers se rapprochaient et faisaient proprement leur travail de guerriers, ces chiens se dirigeaient vers miliciens. Hommes éventrés, les intestins déroulés, d'autres décapités, organes non identifiables, membres isolés, têtes immortalisant une expression de terreur, voilà de quoi était composé le charnier en formation au centre du village.
Certains, comprenant que leur mort était inévitable, tentèrent dans un relents de courage de se défendre, réussirent à casser deux ou trois bras à coups d'épées émoussées. Mais il finissaient eux aussi, par tomber tels des mouches mortes. En quelques minutes, le village était couvert de sang, sans aucune résistance.
Hugues descendit de cheval. Il vit sur le sol une femme, la jambe brisée, qui le fixait.
"PITIE !" hurla-t-elle dans un dernier souffle. Continuant de la dévisager, Hugues suspendit son épée deux centimètres au dessus de son oeil droit, avant de la lâcher. Il la reprit, couverte de sang et couverte de je ne sais quel liquide corporel.
"Bon travail", murmura-t-il.

:globe: Kal’hefim Zerean :globe:

Arnan Zerean

Le mariage

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Quel jour, quel jour ! Velhar s'est vêtu de ses plus beaux habits de soie ! l'étendard Zerean flotte et décore les remparts en compagnie de celui de Kaesos, Arnan s'est vêtu de ses plus beaux habits et mit l'épée des Zerean en personne transmise de génération en génération la plus belle épée qui existe fait en acier de Suryani et provenant des mines des fer de l'empire des deux gorges elle fut offerte à Zerean lors de son règne il y'a déjà plus de 200 ans

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la délégation Kaesosienne ne tardera plus les étendard se faisant voir à déjà 1 lieu ce bon philozor sera bientôt la pour la cérémonie qui sera des plus grandioses accompagné de la promise la belle Élienör d'endgan futur reine de Zerean en attendant la venu de la délégation, Arnan avait à disposition toute une liste de tradition Kaesosienne folklorique il avait donc charger son vizir de les préparer au palais le temps que l'union se fasse au temple conformément à la tradition, il be fallut pas longtemps avant que la délégation arrive aux portes

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Arnan en personne accompagné de sa garde alla accueillir ses hôtes
- Bienvenue ! Bienvenue à Velhar la cité aux milles merveille vous êtes ici comme chez vous on nous attend au temple , venez philozor chevauchons ensemble le peuple doit avoir l'image d'union j'espére que vous me ferez l'honneur de la guider jusqu'a l'autel. les deux hommes a la tete de leur suites respectifs se frayaient un chemin sous les applaudissement et les jets de roses du peuple qui voit son jeune souverain qui va se marier

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- Faites place ! laissez passer le Roi , Faites place
- Voyez , Philozor , voyez comme il m'aime dit le roi en souriant

une fois a l'interieur le Roi se mit pres de l'autel a coté du pretre et attendit sa promise , un silence de maître y régnait , une fois a l'intrieur la belle Elienor était la tel un joyau

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resplendissante nul joyaux ne pouvait égaler son éclat et nul saphir le bleu de ses yeux , les yeux dans ceux de Arnan ils se sont regardé longoureusement et comme si le temps s'eetait subitement arreté , une mèche de cheveux de Arnan couvrait sa joue qui rougissait , Eliénor le regarda alors l'on doit qu'au prétre la fin de ce silence lorsque celui ci les déclara époux.

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a la suite de cela le convives furent convié au palais ou un banquet et des divertissement les attendaits
quand la fête commença , Arnan eu un moment d’absence il demeura sur son trône et a coté de lui sa promise lui souriait , l’air amoureux
avec cet air dans sa tete https://www.youtube.com/watch?v=x18Wxs9Ph64
il voyait autour de lui present a sa fete des nobles des dirigeants et leur suites , tous s’amusait et lui rêvait debout paisiblement sur son trone , puis il se léva , tous se sont tus , le Roi allait peut etre prononcer un discours

- Mes amis , mes frères , nous voila réuni dans cette belle journée d'union et d'amitié dit il en regardant philozor , comme vous le savez la reine est une étrangére cependant je vous demande de l'accepter comme l'une des notres , elle ne sera pas contrainte de changer de religion et sera traité avec respect et afin de prouver ma bonne volonté en retour , j'ai eu vent des tradition de Kaesos et je semble qu'un tel geste est bon pour nos peuples , mon vizir ici présent a conformément aux tradition préparé une coupe de vin et une aiguille , nous coulerons donc une larme de nos sangs et la boirons , Arnan et Elienor le fit alors ce qui laissa tout le monde ébahi
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puis le Roi annonça qu'une deuxième tradition fut sélectionné celle du tatouage sacré , pour les Adules croyant a Ranis un mariage ou les prétendants se font tatouer une rose est un mariage béni , le Roi Wahhadite modifia quelque peu la tradition il se fit alors tatouer l'aigle blanc des Zerean et fit tatouer Elienor d'une Rose , une fois cela fait les convives applaudisserent ce geste qui etait a présent un symbole de fraternité.

https://www.youtube.com/watch?v=Cg1dMpu4v7M a (écouter pendant la lécture )

la nuit venu les deux convives se retirèrent dans leur chambre , pour apprendre a mieux se connaitre

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les deux conjoints se régarderent et il n'eut pas fallu longtemps avant que leurs lèvres se rapprochent pour enfin se coller elle s'etendit alors sur le lit tandis que le broyeur de Arnan se dréssait fiére comme une colonne s'émerveillant de sa forme et sa taille gigantesque elle se jeta alors sur lui elle l'empoigna en le secouant puis le frotta sur ses lévres avant de le glisser doucement levre a levre plissure par plissure dans la crevasse il disparut alors soudain dans son ventre mais il etait gigantesque on l'estimait a une demi coudée mais la quémandeuse englouti alors le monument laissant les deux conjoints dans l'extase le plus total , les deux touffes de poils s'etait collé l'une a l'autre et la reine laissait un liquide s'echappé d'elle qui devenait blanchâtre au fur et a mesure des aller retour , le Roi sentant venir sa séve sortit alors le monument quelques instants afin que le kouss se repose et que le pendant se repose , entre temps le Roi glissa ses doigts dans son huis humide et commençait a effleurer les paroies de tous les cotés Elienor poussait alors un qui hanta le couloir ou les convives dormaient , c'est alors que le Roi sentant le bossu dégourdi le réveilla en le secouant il le tapota alors et la retourna en la surélevant avec des coussins fit frotter le déstructeur sur ses paroies avant de l'enfourcher , la vitesse du mouvement et la puissance du coup était telle que la reine failli s’évanouir , dieu merci il ne l'a pas introduit derrière ou elle serait probablement morte transpercé
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c'est alors que le désir était a son paroxysme les deux époux ne se sentait lus et les dégagements et réengagement de Arnan se faisait de plus en plus rapidement il sentit alors venir le dénouement et dans un cri final un râle d’extase ou il fit trembler les cieux de sa voix rauque , il lacha alors la sève de la vie qui débordait a peine eu elle effleuré le fond qu'a son tour Eliénor lacha un râle strident faisant frissonner les convives dans leur chambres qui devant tant de désirs se sont mis a forniquer elle etait satisfaite et ne se sentait plus.

:globe: Confédération Ubuntu :globe:

série de postes, les onze nations Ubuntu : 1/11

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L'Umbuso des Molo Sodani :

https://www.youtube.com/watch?v=r4-uq8cTF7o
http://urlz.fr/3qw6

400 000 habitants
monarchie "parlementaire"
Roi : Ahamadou Sissé
L'Umbuso des Molo Sodani est un petit royaume désertique du Sud de la Confédération Ubuntu. Le roi Ahamadou Sissé est un bon roi, juste et équitable envers son peuple. Il s'est entouré d'intendants parmi les personnages les plus influents de son royaume (savants, négociants, compteurs, scribes) afin de former un semblant de parlement à Djédjéba, la capitale. Le roi est très soucieux du bien être de son peuple et de la qualité de son économie, c'est pourquoi il lance parfois quelques appels au peuple pour savoir ce que la population pense de ses édits.

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Ci-dessus, l'université de Djédjéba. Une des nombreuses universités du royaume.

Les Molo Sodani sont un peuple docile, calme et éclairé par quelques esprits très élevé appelés "aliya" ou "swofi". Le nom de l'ethnie du royaume se nomme Molo mais depuis qu'une vaste majorité de la population a été convertie au wahadisme, ils ont aussi emprunté le nom de leurs voisins barbares. Contrairement aux Sodani, ils sont un peuple qui compte plus d'un tiers de lettrés, une dizaine d'universités et de ce qu'on appelle là-bas des "mescid", des temples wahadistes. A l'Est est pratiqué un syncrétisme entre Zuga et Wahadisme, il s'agit d'une hérésie nommée "Nmba", cependant, la tolérance religieuse en territoire Molo Sodani est incroyable et il n'existe aucune adversité entre Zuga et Wahadistes. Cette religion n'a pour l'instant eu que des vertus sur ce petit royaume. En effet certains peuples Ndogo s'étant convertis à cette religion sont des peuples de barbares, on peut notamment citer le peuple Sodani qui est un ensemble hétérogènes de moricauds pillards, voleurs, ignares et incapables de poser la moindre base civilisationnelle. Très loin de cela, les Molo Sodani ont construit tout leur royaume sur la base de la loi wahadite et par le développement et le mélange des influences spirituelles, de grands sages ont émergé du peuple Molo Sodani.

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Une rencontre de swfi et de swfia Molo Sodani avec un maître argani

Comme dit précédemment, la société Molo Sodani est tirée de l'avant par des petites communautés de swfi. Ils constituent l'élite spirituelle, intellectuelle, judiciaire et politique du pays. Ce sont eux qui sont les professeurs dans les universités du royaume et qui enseignent le savoir aux habitants. Même si la plupart d'entre eux sont lettrés et savent écrire et parler le Molo Sodani, l'ubuntu et l'Argani (langue de l'Alkitab), ils n'écrivent généralement que pour des textes de jurisprudence wahadiste. Pour le reste, qu'il s'agisse de la mystique comme des contes locaux, ils gardent tout cela dans la tradition orale ubuntu. Les locaux ont pour proverbe "Un ancien (CàD un aliya ou un swifi) qui meurt, c'est comme une bibliothèque qui brûle". En effet, un aliya ou un swfi est généralement capable au long de sa vie de mémoriser des centaine de versets de l'alkitab, des dizaine d'histoires, des milliers d'heures de jurisprudence et des centaine de visages. Les aliya sont les "élevés" et les swfi sont les "purs". Ils s'agit du même type de personne, les aliya sont simplement plus présents dans les régions ou le syncrétisme est pratiqué. Ils sont généralement repérés tout petits parmi les enfants les plus assidus dans leur pratique et les plus proches des mescid. Par la suite, ils vont à l'université où ils reçoivent un grand savoir. L'âge adulte arrivé, ils se retrouvent dans une confrérie avec laquelle ils dansent, chantent et récitent des versets de l'alkitab. Par la suite, une fois devenus vieux ils retournent dans leur village et font office de sage, le plus souvent ils deviennent chef de village et usent de leurs connaissances pour trancher entre les affaires. Le roi actuel est un swfi.

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Deux "bonnes dames" Molo Sodani récoltant du sel

L'économie des Molo Sodani repose sur trois choses, le sel, l'or et les esclaves. Pourtant, il n'y a ni capture d'esclave ni mine d'or dans le pays. En fait, il y a deux régions chez les Molo Sodani. La région à majorité wahadiste est constituée principalement d'éleveurs et de marchands et la région à majorité syncrétiste ou Zuga est constituée de mineurs de sel. Les marchands achètent des esclaves aux Sodani et les revendent contre de l'or aux autres nations. Ils payent le sel en or (qu'ils revendent par la suite). L'or des non-wahadiste revient alors en partie aux Molo Sodani grâce à la cizye, un impôt local qui leur est destiné pour pouvoir les protéger. Ainsi, l'économie de ce peuple peut tourner en permettant aux différents partis de subsister voir de s'enrichir comme certains marchands de Djédjéba qui parviennent à acheter une caravane entière à leurs frais. Le minage de sel est effectué par les "bonnes dames", des femmes Nmba qui récoltent le sel avec leurs enfants accroché à elles. Pendant ce temps, leurs maris négocient le prix du sel ou, pour les plus riches, gardent les chèvres ou le bétail en général.

:globe: Grande Fédération de Kaesos :globe:

Environ 40Millions D’Adules vivent sur les terres de la fédérations et quelques Millions d’autres ethnie,
Sa force militaire terrestres reste inconnue pour le moment,
Sa force Naval militaire compte environ une centaine de navires à quais,
Drapeau : https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1460999238-jointherealm-sigil.png

:gba: Élienör, Princesse de Kaesos :gba:

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le choix avait été fait, nous connaissions enfin la futur princesse qui nous représentera dans le royaume d’au delà le détroit et à travers l’influence du sublime Roi de Kal’hefim. Cette jeune princesse venu d’Endagne, Fille très riche et influent seigneur-Maire de cette ville son nom avait paru comme un évidence lors du choix des prétendantes. Sa beauté légendaire était connu de toute la région et son père savait le trésor qu’il détenait alors lorsqu’il appris la nouvelle, il n’eut qu’une seul réaction, il remercia les dieux de ce divin présent.
Le départ pour Velhar était imminent mais les adieux devait se faire à Randal, Capital Fédéral et cité ou abrite la chambre des 10. Le rassemblement était exceptionnel et le monde s’empressait de voir la promise au royaume ami, non seulement tous les sièges de la chambre était plein mais aussi et ceci tait cas rare,les nombreux spectateurs remplissaient la salle dans un broua infernal.

- SILENCE ! cria de son pupitre le Patriarche
En quelques seconde l’immense salle devint silencieuse tel la plage de sable fin au petit matin s’orchestrant avec le seul bruit des vagues qui vinrent s’écraser sur le sable humide. Ici c’était Le patriarche qui interrompit ce silence et lança la séance, devant sa voix portante dans toute la salle nous l’entendions distinctement même aux places les moins luxueuse des estrades surélevés. Au fil de son discours, la pièce toujours silencieuse se leva et accueillit alors la divine princesse pour sa promulgation et puis vint le discours du Patriarche portant alors l’anneau représentant chaque maison de cette chambre des 10, un pour chaque doigt.
La princesse rayonnante alors s’agenouilla devant et attendit les honneurs:

- Dame Éliénör,Princesse d’Endagne, Fille d’Arnal de la maison Grelam et citoyenne de la fédération de Kaesos.
Tu es l’élu pour accomplir l’un des missions que ton peuple t’impose, mais par amour et par choix, tu as eider de porter fièrement ce fardeau pour l’avenir de la nation. Votre beauté et votre coeur vous a choisi pour être la digne Reine de Zerean. Mais selon nos traditions et nos lois , une princesse ou promise destiné à une main étrangère ou comprenant un enjeu économique,politique,judiciaire ou tout autre influence pour la nation doit détenir le titre suprême de Reine élu de Kaesos et de Ranis. Ce titre vous octroie alors le pouvoir d’accéder à ce mariage prestigieux et par les pouvoir qui me son conféré par ces 10 maisons dirigeante et ancienne famille souveraine des royaumes Adules antique de Isos, je vous fait en ces noms Grande princesse et représentante du peuple Adules. Ce pouvoir vous implique de nombreux devoir notamment celui de représente Kaesos dans toute circonstance, de porter ses valeurs et son nom face aux puissance étrangère et au monde quand lequel vous allez évoluer .
Désormais vous n’êtes plus fille d’Arnal et Princesse d’Endagne mais vous êtes désormais sous la volonté de cette chambre ( il l’a désigna du bras ) Fille de Peuple Adules, Princesse de Kaesos Élus de Ranis…
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Ce long monologue se termina enfin sur une ruée d’applaudissement et des sourires sur chaque visage. La Princesse embrassa les 10 bagues de la main du Lord Suzerain puis se releva et s’éclipsa alors avec le Patriarche pour qu’il l’a présente au peuple réunis devant la palais de chambre sur le balcon qui domine une des grande place de la ville. Mais on ne pu la voir que quelques minutes, sa délégation devait rapidement quitter son port dès l’aube.

:gba: Le Mariage royale :gba:

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La délégation arriva bientôt à Valhar, Citée aperçu à plus de 100 lieux à la ronde. Les étendards Kaesosiennes étaient fièrement brandit et la caravane de noble et de servant qui suivait la reine et le patriarche semblait interminable , lors de l’ouverture des grandes portes de la ville , on dit que les gardes furent plantés près de 10 min pour rentrer tous le monde. La cérémonie dura des heures et les promesses du jeune Roi Arnan avait été pour le plus grand plaisir des traditions kaesosiennes. Malheureusement il manquait encore beaucoup de des traditions que la patriarche et sa fille comptaient bien réalisé pour ce mariage symbolique. La goûte de sang était l’une des plus antique et très bien respecté , le tatouage , malgré la différence, la délégation d’invités ne pouvait que remercié déjà l’immense pas que faisait le roi étranger pour notre peuple. L’une des chose que philozor tenait beaucoup était aussi ce qu’il n’avait point osé demandé à la famille royale hôte qui est la dôte. Un versement à l’origine des deux familles pour la verser en cadeaux aux mariés en signe de bénédiction, alors parlant avec Arnan , philozor amena devant ses pieds alors une immense caisse d’or et d’argent puis la Lord Suzerain laissa Arnan rejoindre sa femme dans ses quartier pour consommer son mariage ce qui était tout à fait normale mais la soirée semblait loin d’être fini pour La délégation Kaesosiennes.
Selon l’une des traditions les plus ancestrale des Adules , lors d’un mariage en singe de compatissante et pendant la consommation du couple marié alors les invités du mariage devait réalisé au nom du Ranis une orgie de purification, une purification et une bénédiction que tous les convives devaient réalisé pour le nouveaux couple et leur bénir leur avenir d’une fertilité absolu et heureuse.

Mais puisque la religion des hôtes était contre cette pratique alors après l’autorisation donné par la roi en personne la délégation se rassembla dans une immense pièce meublés de sofa , de coussins, de rideau, une pièce extrêmement confortable décoré d’un rouge d’amour et d’érotisme. Elle s’accompagnait de beaucoup d’alcool et de nourriture à la demande des Kaesosiens mais l’élément principale était les centaines de femmes de plaisir toutes plus délicieuse les unes des autres ainsi que des hommes qui attendaient la délégation. On raconta par la suite que cette orgie rassembla tout les bordels de la région et même des bordel de la fédération pour pallié au manque et au maigre maison de plaisir se trouvant dans Kal’Hefim.

La nuit dura alors une éternités, l’alcool accompagnait cette deuxième fête et les centaines de personnes de la salle se lachèrent de plus en plus. Commençant alors par des carresses, des regards, des baiser divins. Puis la température monta , on voyait des dizaines de groupes se formés , ressemblant 6-7 invités et prostitués sur les sofas déjà trempées de la sueur des corps et de la chaleur torride que dégageait cette pièce. Des rumeurs avançaient même le fait que les gardes devant les portes de cette pièce voiyèrent de la fumé être recraché par les fentes qui les séparaient du spectacle de feu et d’armour qu’il manquait
Plus les minutes passèrent , les coupes de vins se vidèrent, les passoires de raisins s’allégèrent mais les cris de jouissance commencèrent à raisonné dans la palais royale. Les corps se collaient et les sueurs se mélangeaient de plus en plus, les femmes criait, jouissaient ou ne pouvait plus simplement parler sachant les fourreaux enfoncées dans leur trachée. Qu’importe les ethnie, qu’importe les sexes ou les religions cette séance abaissait l’homme à l’état d’animal sans le besoin de réfléchir, utilisant leur dons naturel pour assouvir un plaisir enfoui.
Tous les corps étaient alors humidifiés sous les coups de langues incessants et les bouches s’échangeaient des baisers tel une tempête qui tourbillonnait.
Et la nuit passa sous les charmant cris des femmes réalisant par la même occasion leur sport et leurs figures toute plus originales les unes que les autres. Le parfums d’érotisme et le charme d’un salon de thé reconverti envahissait le palais … l’union royale était enfin béni du grand Ranis tel les plus anciennes traditions qu’un peuple l’exigeait …

:globe: Via Kal’hefim :globe:

Je vous remercie pour cette fête grandiose, votre union à été béni par nos coutumes et nos religions ont pu être respectés selon l’envie des uns ou des autres. Longue vive à cette union et que la fertilité soit à votre porte pour vous désigné d’heureux successeurs digne de la nouvelle alliance entre vous et Kaesos.
Je vous salue pour le respect de certain rîtes délaisse d’un simple « à bientôt » je l’espère mon amis

« Philozor de Rnal , Patriarche de Kaesos »

:globe: Royaume des Cinq îles :globe:

:gba: L'ambition d'un roi :gba:

Le roi revenait du chenil plein de sang, un chien l'avait attaqué, il avait été mordu au molet, rien de grave sur le long terme mais il devrait guérir vite. Il se remémora de la scène, son écuyer était figé de peur, âgé de 18 ans il devait devenir un homme mais le roi voyait en lui encore un enfant seulement. Ragnar avait décidé d'en faire un homme, ils allaient partir faire un pillage, ainsi ils pourraient redorer leurs richesses aussi. La cible serait le continent de Kali. La durée de traversée était courte et simple pour les vétérans naviguateurs qu'étaient les Quintes. Ragnar pensait au delà des mers. A l'ouest, Isos, notre peuple exilé rêvait de retourner en Isos, aujourd'hui il serait facile d'y retourner, il suffirait d'avoir peu de personne et beaucoup de provisions dans les navires. Mais était-ce une bonne idée ? Peut-être était-ce l'anarchie depuis la grande vague ? Les Quintes n'en savaient rien, ils faisaient leur vie isolé sur leurs îles. A l'est on disait qu'on rejoignait Ranis, c'est pour cela que les morts (pour les plus riches) sont envoyé avec leur bateau vers l'est pour rejoindre Ranis. Certains grand naviguateur tels que Odin le cruel ou Leor le Sage ont essayé d'y partir mais jamais il en revinrent.

L'heure du diner vient, toute la famille royale était présente, c'est-à-dire sa femme, sa mère ainsi qu'une partie de sa belle-famille. Plusieurs nobles étaient présents comme certains généraux qui séjournaient dans le château quelques jours. Les discussions virevoltaient de tous les côtés de la pièce, l'étiquette lors d'un banquet était très peu développé. La discussion tourna vite autours d'un héritier, les anciens en rigolèrent "Laissons lui le temps, elle est encore très jeune". Après cette discussion animée, la reine demande au roi si son âge était un problème à sa fertilité, il lui répondit bien sur que non mais qu'ils devaient changer leur pratique sexuel puisque la reine avait pour habitude de prendre tout en bouche. Ils firent donc l'amour bruyamment et Ragnar se vida où vous savez.

Le roi n'avait pas de cours et donc pas de courtisanes. La fidélité devait être respectée dans les moeurs des Quintes. Bien qu'une fois par an lors de la fête des 5 comètes, des orgies pouvaient être organisés les hommes étant privilégiés bien sur. Un homme pour plusieurs femmes. Une légende raconte que le roi Thor Lodbrok avait pris une centaines de femme pour son orgie. Les orgies avec des étrangers sont interdites et seraient punis de la pire torture qu'il existe chez les Quintes : l'aigle d'airain. On enfermait la victime dans un aigle en or et on l'a brulait à l'intérieur. Les autres condamnés à mort sont les violeurs et les meurtriers.
Ragnar devait aussi se concentrer sur son peuple, qui quelques fois réclamait des droits. Les Maîtres Quintes était très inégalitaires dans leur conception de vivre.

:globe: Empire des Steppes :globe:
http://www.noelshack.com/2016-16-1461244773-popolpdmongol-20160419-140550.jpg
Le Peloton de Cavaliers Kazans revint en terre Sansarie après de longues semaines sans nouvelles. Ils apportaient des informations capitales avec eux. C'est par un cavalier flèche que le grand Khan fût informé des nouvelles de l’inconnu. Le messager rapporta les paroles des éclaireurs:
"Grand Khan, la traversée fut pénible et harassante, mais ils purent récolter un maximum d'informations sur les événements du côté de l'Inconnu. A ce que nous savons, la situation est explosive : le terrible Empire des deux gorges se remet tout juste d'une guerre contre un puissant vassal qu'il s'ébauche une autre bataille, opposant cette fois le dragon des Deux Gorges au royaume de Zhu Tang allié aux Goseakha. L'Empire Shakoto est également un rival de l'Emprie des Deux-Gorges de longues dates, et on dit même qu'il souhaiterait faire appel à nous pour s'imposer…”
A ces mots Sansar Khan prit un air sérieux, il semblait réfléchir. Ces nouvelles n’étaient pas anodines et une guerre entre ces deux superpuissances ne pouvaient que nous être profitables. Mais pourquoi demander notre aide? Shakoto a les moyens de se mesurer au Dragon, pourquoi faire appel à notre peuple? Plusieurs solutions se présentent maintenant mais, il ne fallait pas en prendre une hâtivement. Le secret d’une campagne réussie c’est de la préparer minutieusement, de connaître l’ennemi et le terrain. Sansar Khan dit alors ses ordres au cavalier:
“Va, fait rapporter ce message aux Kazans, aux Sansaris, aux Genshus, que toute la Steppe soit au courant de la nouvelle. Atmera est divisée sur elle même et nous pouvons en profiter. Fais passer le message par les autres cavaliers flèches à toutes les divisions de la Horde. La Kurultaï est appellée, que tous les chefs de guerre, que tous les membres du Iourt-chi viennent à Balang-Amur. Fais partir un escadron Kazan en Outre-Azag, ils iront confirmer les dire de nos éclaireurs et établiront contact avec les rebelles à l’Empereur des Deux Gorges.”
A ces mots, le cavaliers-flèche reparti et averti les autres cavaliers-flèche présents au camp de Balang-Amur afin de lancer le message dans tout l’Empire pendant que L’Escadron partait pour sa mission Outre-Azag. (Rappel un escadron = 100 hommes)
:globe: Culture des Steppes: La Religion :globe:
De part leur éloignement et leur isolement du reste du continent, les peuples des Steppes ne partagent pas la même religion que les autres Zingaris. Leur religion est plus à l’image de leur société. Les peuples des Steppes qu’ils soient nomades ou sédentaires partagent la même religion: Appellée Sahka. Les principales divinités vénérées sont,
Akan: “Le Père” qui créa le monde comme nous le connaissons, il est vénéré comme le dieu le plus important pour les Sansaris. C'est aussi celui qui guide les hommes après la mort au Tantyan, lieu où les âmes des morts prennent repos. C'est un lieu neutre, il n’y à ni paradis ni enfer, juste Tantyan.
Fanyang: Le Dieu de la guerre, qui apprit aux hommes à se battre et à fabriquer des armes. Il est censé s’incarner sur Terre à chaque génération, les avatars de Fanyang sont considérés comme ses enfants et sont vénérés comme des dieux à part entière depuis l’apparition de la religion des steppes. Il y a donc une infinité de dieux de la guerre portant chacun un nom différant, ils vivent et meurent comme des hommes mais leur royaume est grand dans le domaine de Fanyang.
Xiuwei: Déesse du vent, on raconte qu’elle apparaît dans les déserts aux voyageurs sur le point de mourir et les guide jusqu'à une oasis, ou à la mort… Elle est surtout vénérée par les Kazans et les autres nomades du désert.
Ceux ci sont les principaux dieux du Sahka, il en existe d’autres mais leurs cultes sont beaucoup moins important et minoritaires. Il n’y a pas de conception du bien et du mal dans le Sahka, les hommes sont sur Terre une seule fois, c’est un cadeau d’Akan. Une chance de marquer l’histoire. A la mort, les âmes vont au Tantyan, lieu de paix où les âmes trouvent le repos.
Cependant, il n’y a pas que ça, le domaine de Fanyang est un autre lieu, abritant les dieux guerriers du panthéon Sahka. Néanmoins, il n’y à pas que les avatars de Fanyang qui peuvent y accéder, tout homme qui vit et meurt par l’épée s’y trouvera à sa mort. C'est un des “Mondes idéaux” auquel veulent accéder les Sahkistes, le Tantyan étant le Monde des morts basique, il n’y à aucun honneur à finir là bas. Le domaine de Fanyang se nomme “Ibha”. Il est décrit comme une plaine infinie où tout se trouve en abondance.
Il se trouve d’autres Mondes Idéaux, mes les principaux sont l’Ibha et le Kilah,
Le Kilah est le domaine de ceux qui ont atteint la paix intérieure, un état d’esprit spécial niant l'existence du bien ou du mal. “Il n’y a que des Dieux, et des hommes pour les divertir. Rien n’est acquis tout est à prendre.” Ceux qui atteignent le Kilah sont ceux qui atteignent littéralement le statut de dieux. C'est ce qui fait le caractère infinit du panthéon Sahka, que ce soit les avatars de Fanyang ou les Kilahis, il y a à chaque génération des hommes qui s’illustrent comme dieux.
Balang-Amur est un lieu saint dans le Sahka. C'est là qu’Akan aurait fait naître les premiers hommes. C'est un point de rassemblement pour la Kurultaï, le Iourt-chi et un point de repère connu de tous. De nombreuses marchandises de tout l’Empire transitent par là. C'est également un lieu de pèlerinage et de prière pour les sédentaires comme les nomades.

:globe: Fédération de Kaesos via Confédération du Val :globe:

Cher Intendant,
Votre proposition nous donne le sourire, vous semblez éclairé et avide du bonheur de votre peuple, je ne peux qu’accepter cette demande commercial prometteuse. La stabilité économique du continent tien aussi par ces mines de minerais que nous ne voulons rendre muet. Travaillons ensemble et je suis sûr que nous pourrons encore trouver d’autre arrangement.
Seigneur intendant.
Patriarche Philozor , digne représentant de Kaesos

Event

Rites d'autrefois et Chasses aux sorcières

Sur Isos, nombreuses relgions et croyances se cotoient bien que la religion dominante soit celle vouée à Ranis cette dernière existe sous divers variantes selons les provinces et selon les Royaumes bien que le message principal reste à peu près identique. Néanmoins cela peut conduire à des cas extrêmes, en effet dans tout Isos se forment des groupes de croyants réunis autour de mages se disant représentant de la fpi et mélangeant des rites paiens à ceux voués à Ranis, il s'agit là d'une véritable hérésie pour les différentes Guildes d'Anciens néanmoins est ce judicieux de persécuter un groupe de croyant revendiquant loué un culte à Ranis à leurs manière?

En effet, comme dit précèdement sur Isos, il exsite différentes variante du culte de Ranis et chacun crit dure comme fer que çà version est la bonne, faut-il donc éliminer ce groupe d'hérétique et relancer le débat au risque de plonger tout Isos dans une guerre de religion? Ou bien faut-il faire preuve de tolérance et laisser ces gens pratiquer leurs foi en paix au détriment de la notre?

Event

Rites d'autrefois et Chasses aux sorcières

Sur Isos, nombreuses relgions et croyances se cotoient bien que la religion dominante soit celle vouée à Ranis cette dernière existe sous divers variantes selons les provinces et selon les Royaumes bien que le message principal reste à peu près identique. Néanmoins cela peut conduire à des cas extrêmes, en effet dans tout Isos se forment des groupes de croyants réunis autour de mages se disant représentant de la fpi et mélangeant des rites paiens à ceux voués à Ranis, il s'agit là d'une véritable hérésie pour les différentes Guildes d'Anciens néanmoins est ce judicieux de persécuter un groupe de croyant revendiquant loué un culte à Ranis à leurs manière?

En effet, comme dit précèdement sur Isos, il exsite différentes variante du culte de Ranis et chacun crit dure comme fer que çà version est la bonne, faut-il donc éliminer ce groupe d'hérétique et relancer le débat au risque de plonger tout Isos dans une guerre de religion? Ou bien faut-il faire preuve de tolérance et laisser ces gens pratiquer leurs foi en paix au détriment de la notre?

:globe: Confédération Ubuntu :globe:

https://www.youtube.com/watch?v=qI_h49D1xo8

L'armée :

140 000 combattants
La confédération Ubuntu a de féroces guerriers. Même si son armée est loin d'être professionnelle, elle n'en est pas pour le moins une des plus farouche du monde et assurément la plus farouche d'Enga. Ses effectifs sont très élevés, en effet : pour cent Ubuntu, il y a dix combattants. L'armée Ubuntu n'a jamais eu de commandement central, elle est un groupement hétérogène de différents petits groupes de combattants. Deux types d'organisation militaire existent dans la confédération, l'organisation du nord et celle du sud. Dans les régions tempérées (cas spécial pour les M'Butu), les villages entretiennent tous une petite garnison de soldats qui vont trois mois par ans dans une caserne appartenant au seigneur local pour s'entraîner. Dans les régions arides (cas spécial pour les Sodani), les villages disposent pour la plupart de leur propre casemate dans laquelle logent ce qu'ils appellent les umzingeli, "chasseurs", ils sont chargés de la défense du village contre les éléphants, les lions et de chasser dans la savane ou dans le désert. Ils s'entraînent quant à eux toute l'année, ce qui explique pourquoi ils ont légèrement plus de renommée que ceux du nord même si ils sont bien moins biens équipés que ceux du nord féodal.

Pour convoquer l'armée, le Grand Manitou n'a qu'à monter au sommet du palais et sonner le Cor de Guerre. En entendant ce corps de guerre, les locaux accourent à leurs seigneurs pour mobiliser l'armée et sonnent par eux même les cors de guerre. Ainsi, sans avoir à faire de grandes distances, le message de la guerre se répand en juste une journée. Les troupes se regroupent par provinces avec à leur tête leur seigneur de guerre, dans les cas ou le cor ne suffit pas car la ville est trop éloignée, des signaux de fumée peuvent être utilisés.. Encore une fois, il y a une exception pour les M'Butu et les Sodani, ces deux provinces. En effet, ces deux provinces sont une exception du système militaire confédéral, du fait de leurs guerres civiles incessantes, des révoltes liées à ces dernières et de la quasi-anarchie qui règne dans ces deux provinces négrières, un édit royal a été décrété les autorisant à ne pas mobiliser de troupes en cas de guerre. Cependant, que cela ne réjouisse pas trop les ennemis de la Confédération, ces deux provinces sont pratiquement impossible à conquérir. En effet, jamais ces moricauds, aussi perfides et stupides soient-ils, ne laisseraient un homme (d'autant plus si il n'est pas Ndogo) rentrer sur ses terres. Ces deux peuples ont pour particularité de ne compter que des guerriers dans leur population, même les enfants les plus jeunes sont armés et prêts à massacrer l'ethnie adverse.

Comme dit précédemment l'armée Ubuntu est composée de 140 000 hommes. Les Ndogo sont de très farouche guerriers mais de piètres cavaliers. Ainsi, l'armée est principalement constituée de lanciers ou de fantassins en tout genre. Il y a également un grand nombre d'archers mais peu de cavaliers. Ils sont triés sur le volet et sélectionnés parmi les Ndogo sachant le mieux chevaucher (même si ils n'atteignent pas pour autant le niveau des cavaliers Zingari bien entendu). Certains soldats qui jouissent d'un très bon entrainement se voient attribués des armures lourdes et de bonnes armes mais l'immense majorité de l'armée Ubuntu est constituée de jeunes hommes à peine protégés, très légers, armés soit d'une lance très rigide en bois de nbebebo (un arbre réputé pour la solidité extrême de son bois) appelée umkhonto soit de plusieurs petites lances multiples et peu rigide appelées oko et qui servent principalement au lancer.

https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1461188609-jeune-noir.png
Soldats lourds Ubuntu

[1] http://www.medievart.com/photos/G13A02NB.JPG
Les soldats lourds Ubuntu sont très peu nombreux, ils disposent d'une protection optimale, une tunique en cuir rigide doublée d'une cotte de maille recouverts par une armure de plaque colorée. Ils sont coiffés d'un casque appelé skafan [1] entouré d'un chèche ou alors d'un simple turban, la cavalerie quant à elle a un autre casque appelé korbia et protégeant absolument toute la tête sauf un espace pour le visage protégé par un barreau central. Ces soldats constituent l'élite de la nation Ubuntu et sont sélectionnes pour l'immense majorité parmi la noblesse d'arme Igolide ou Walili. Leur panel d'arme est très étendu et chaque soldat a sa propre arme qu'il a forgé ou fait forger de lui-même afin de trouer le bon point d'équilibre pour son arme et avoir une épée, lance, masse, javelot ou rapière qui lui scied le mieux. La plupart des armes et des armures de ces soldats sont forgées en acier Ndogo, un acier très solide qui a la réputation internationale d'être utilisé pour le forgeage de chaines à esclaves qui pratiquement incassables.

Effectifs :
-fantassins : 10 000
-cavaliers : 6 000
____________________
https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1461229645-archer-negro.png https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1461229685-nubian-rider-archer-by-mustangart-d7xnfvu.jpg
Archer touwara

Les archers touwaras sont des archers originaires de la République de Touwara, ils sont des archers légers protégés par une armure de quelques plaques métalliques très légères doublées de cuir et d'une peau de bête, ils sont aussi bien archers au sol que méharistes. Ces archers originaires du désert sont habitués aux conditions climatique dures de ces contrées. Ils sont réputés dans tout Enga comme étant d'excellents archers avec leurs arcs composites (principalement composés de bois de nbebebo). Ils constituent l'élite des archers de l'armée Ubuntu.

Effectifs :
-à pied : 25 000
-méharistes : 9 000
____________________
https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1461230524-zulu-archer.gif https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1461230598-concept-art-of-shaka.jpg https://c1.staticflickr.com/5/4033/4466150333_aea69c36c5_b.jpg https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/58/Zuluchargegutt.jpg
Gros de l'armée Ubuntu

Le gros de l'Armée Ubuntu est composée de soldats moyens ou légers. ils sont les moins biens équipés de l'armée. Principalement composés d'ampa, ces soldats qui n'ont pratiquement pas d'armure si ce n'est un pagne avec des lanières de cuir. Il existe également des petits corps d'archers très légers et mobile, ils sont appelés les oumaba. Enfin, il existe deux unités d'infanterie moyenne, des lanciers avec une armure mantelée, un skafan et un bouclier ovale. Ils sont armés d'un umkhoto. Enfin, il existe une unité appelée shaka équipée un peu plus lourdement que les ampa et armés d'une épée en acier Ndogo.

Effectifs :
-ampa : 30 000
-oumaba : 30 000
-lanciers : 15 000
-shaka : 15 000

:globe: République des îles de Feu :globe:

Du haut de son balcon, taillé dans la roche même du volcan qui semblait dominer l'île, Qaithe admirait sa capitale. Puante et désorganisée, voilà ce qui pouvait le mieux définir la Baie, ville mère des îles de Feu. Les habitants avaient construit au petit bonheur la chance leur habitations. Certaines taillés dans la roche, d'autres utilisaient des bâtiments qui avaient survécu à la Grande Vague, d'autres encore s'était fait bâtir de véritable palais, ou des huttes en bois. Tel était le privilège des îles, tout le monde faisait à peu près ce qu'il voulait, tant que cela n'entravait pas le bon fonctionnement du système. ET elle, Qaithe, était la gardienne sacré de cette liberté. Avec nostalgie elle se souvint, il y avait de cela presque 58 ans. Siraxe était mort d'une maladie, et en tant que membre de la caste des Kuhalna, Qaithe avait été choisie alors qu'elle n'était qu'une enfant, pour lui succéder.

Les débuts n'avaient guère été compliqué. Après tout elle n'avait que peu de chose à faire, et les gens la vénéraient. Mais plus l'âge s'avançait, plus son peuple attendait d'elle. Qu'elle les guide. Ces idiots, comme si elle savait sa battre. Toute à ses pensées, elle eut juste le temps d'entendre la porte s'ouvrir. Se retournant lentement, elle fit face à une gamine aux cheveux de feu. Elle avait reconnu facilement son pas. Se baissant avec difficulté pour se mettre à son niveau, elle lui fit signe d'approcher.

Eddalia, tel était son nom. La caste des Kuhalna recrutait de façon très complexe. Mais pour résumer, la caste est formé de la Kuhalna ou le Kuhalna, ainsi que de jeunes gens aptes à le devenir un jour, et des plus vieux qui aurait pu le devenir mais ne l'ont pas été. Le dernier membre se trouve être un homme aveugle, sensé justement détecté de futur Kuhalna en arpentant les quartiers pour sonder les nouveaux nés. Eddalia était la fille d'un bûcheron dans l'intérieur de l'île. Ses parents avaient été ravis de la donner, déjà pour l"honneur, et ensuite car cela faisait moins à nourrir. Qaithe pensait en faire son héritière un jour. Les quatre autres étaient trop vieux de toute façon.

-Qu'avions nous dis Eddalia?

- De toujours porter le masque Qaithe.

Et avec un semblant de lassitude, la petite rabattit le masque de bronze sur son visage. Les Kuhalna entretenaient le mystère depuis le début. Cela renforçait leur aura quasi divine sur la population. On considérait comme un privilège immense que de voir le visage d'une de ces personnes. Cela était un sacrifice en soi, l'on donnait sa personne entière au peuple. Sauf le visage.

-Vas me chercher Valerien

-Oui Qaithe

-Et gardes ton masque !

Valerien était un métis tout comme la plupart des gens des îles de toute manière. Ses yeux légèrement plissé laissait deviner une de ses origines, la peau légèrement tanné, il ressemblait tout de même plus à un Adule. Une longue barbe grise couvrant son visage. Il était vêtu de vêtement chic comme à son habitude. Entrant dans la pièce d'une démarche calme, il regarda Qaithe. S'inclinant comme il était d'usage devant une femme de son rang, il se releva à un simple signe de sa part, gardant les yeux rivés vers le bas.

-Guide, votre serviteur se trouve humblement à votre disposition.

Le masque de fer noire qu'elle portait lui donnait l'allure d'un démon. Les artisans ayant dessiné des traits étranges à leur oeuvre. Valerien en ressentit un frisson mais tâcha de ne rien en laisser paraître.

-Mon rapport Valerien je te prie.

-Tout de suite.

Prenant un parchemin dans son long manteau, il le déroula pour en faire la lecture.

-La guilde des Quinze est de nouveau entré en guerre avec le Clan des Mithral. Pour l'instant deux morts il me semble. Les hommes de Sextus sont revenus au port après avoir pillé les lignes commerciales du sud. Liam et Angelus se sont entretués, ce qui laisse deux nouvelles place au Conseil suprême.

-Hmm rien de bien palpitant. Comment se porte l'affrontement entre les corporations de la Baie et celle de la Rivière?

-Trois navires coulés.

-Quelle bande d'imbécile. Fais couper les mains de Gildo et de Marena, ça leur apprendra peut être qu'on ne joue pas avec nos précieux navires.

-Il en sera fait selon votre volonté.

-Il faut également préparer la Saison.

-Les seigneurs capitaines sont impatients.

-Je le sais bien, qu'une bande de gamins et de gamine se croyant supérieur au monde car ils chevauchent des chevaux de bois. Tu les feras patienter. Les autres nations sont nerveuses. Nos pillages les rendent agressif. Il vaudrait mieux éviter une guerre ouverte avec trop de peuples.

-Le Peuple Libre saura écraser les agenouillés et les autres sur mers. Car nous régnons sur l'Océan.

-Certes mon enfant, mais cela serait désastreux tout de même. Fais les attendre. Laissons leur le temps de croire que nous nous sommes calmés. Puis autorise tout les capitaines à partir piller. Bien sûr les mêmes consignes.

-Oui, pas de prisonnier ou peu, capture des navires, on libère les esclaves, on écorche vif les esclavagistes, et on brûle ce qu'on prend pas.

-Bien. Sors maintenant.

:globe: Confédération Ubuntu :globe:

Édit du Grand Manitou :

En l'an de grâce 211 après la Grande Vague, le Grand Manitou Farka Ali a décrété un Édit nommé "de l'autorisation de la chair animale" :

Le Royaume d'Aldiba nous a précédé. Nous pensons qu'il est temps pour la population Ubuntu d'en venir au même constat. Nous ne mangeons pas de viande, pourtant Ega grouille d'animaux plus qu’appétissants, comment la nature peut-elle vouloir que l'on se prive de cette viande ? De plus, nous chassons les animaux pour leur cuire et il est clair que selon les études menées par l'université de Djédjéba, les provinces wahadite qui consomment de la viande (exception faite pour les Sodani) connaissent largement moins de famine que les autres. Par conséquent il nous a semblé logique que pour éviter les famines, permettre aux soldats de se nourrir sans faire de carence et par conséquent rendre la vie meilleure à tous les Ndogo, nous rendons licite la viande à plusieurs conditions :

La bête doit être une bête élevée par son abatteur, la chasse est toujours réservée aux nobles, les braconeurs seront durement sanctionnés.
La bête doit être abattue avec une lame très acérée et elle doit être abattue avant la distribution ou le repas, les bêtes doivent être respectées et ne pas être abattues de façon brutale.
La plaba peut consommer de la viande mais seuls les agriculteurs et les éleveurs peuvent la produire. De même, les vagabonds ou les moines ascétiques Ndogo n'ont pas le droit de la consommer, elle leur est complètement illicite.
La viande va en priorité aux nobles et à l'armée Ndogo, comme dit précédemment les prêtres et les moines ascétiques en sont privés ainsi que les vagabonds.

Gm

:globe: Iles de Glaces de Kh'lorr via Royaumes des cinq iles :globe:

mon frère rien ne me ferais plus plaisir , aller piller ces sales sauvages est pour moi un plaisir j'accepte votre offre

:globe: République de Farenzo :globe:

La chute du Loup Furieux :
Partie V: Le Lion et le Loup
La porte tomba lourdement, avec un craquement sinistre. Si la demeure seigneuriale paraissais pitoyable et infecte de l'extérieur, il en était autrement une fois le seuil de l'entrée dépassé : plusieurs trophée et babioles diverses s'entassaient dans le hall de la maison. Sur le mur du fond, une jolie fenêtre décorée avec des sculptures florales filtrait la lumière crépusculaire qui enveloppait une carcasse vivante agenouillé devant ce qui semblait un autel érigé à l'honneur de Ranis, mais en toute hâte.

Cet homme la tremblait, et marmonnait des prières incompréhensibles, hâtives, mal bafouée et non sincères.

- Depuis quand le vieux loup prie t-il ?

Le vieux ce contenta de renifler dédaigneusement.

- Si Ranil existe vraiment ça serait le meilleur moment pour lui de se manifester, du coup autant le forcer gentiment.

Aurellio s'approcha lentement de Giovanni, insistant sur chaque pas qu'il mettait en avant. Il se tint derrière lui. Il écouta attentivement les prières du vieux. ça se voyais qu'il venait de les apprendre, la preuve étant le vieux livre de la rose étendu près de ces pieds. il y avais également une flaque de pisse, témoignant de la peur incontrôlable du vieux maitre.

- Relevez vous, Sire Giovanni Merillo. Il est temps que vous preniez des vacances.

Surpris, Giovanni fut remit sur pied pr les hommes d'Aurellio. Allait-il être gracié ?

- je pense qu'une bonne retraite vous fera du grand bien, le pillage ne vous réussi vraiment pas, la sénilité vous rend trop agressif. C'est le moment de passer à autre chose. Qu'en dites vous ?

Tremblant, les larmes au yeux, le cadavre hocha en signe d'approbation.

- Je vous en supplie monseigneur.

-Soit, votre repos est mérité.

La vitesse avec laquelle la main d'Aurellio enfonça le poignard dans la poitrine du miserable surpris même les hommes de main du Sfarenzi. Il donna une dizaine d'autre coups, avant de laisser la carcasse tomber lourdement au sol.

- Bon sommeil, lâche.

:globe: Gm :globe:

Les messagers galopaient à la vitesse du vent rien ne pouvait les arrêter, ils arrivèrent très vite à leurs destinations respectives. Le messager envoyé aux Kazans annonça les attentes du chef de la Horde. "Ô mon seigneur, je viens à vous, notre grand chef vous quérit pour la grande marche vers l'ouest, il est temps de se venger et d'anéantir l'Empire des 2 Gorges, ils sont faibles et nous avons des alliés puissants", ce à quoi le chef Kazan répondit "Je viendrais, si vous nous promettez richesse et terres fertiles à nos femmes et enfants". 15 000 cavaliers rejoignent la Horde.
Le second messager eut moins de chance avec les Sansaris, ils se disputaient pour une vieille querelle de famille, le village était en train de se battre entre eux. Le chef des Sansaris après la baston refusa l'offre du grand chef, ils n'allaient pas galoper pour quelqu'un qui ne leur avait rien offert.
Le dernier messager fut chaleureusement accueillis et promit que ses plus grands guerriers galoperaient avec le chef de la Horde et puisse les dieux nous être favorable. 20 000 cavaliers rejoignent la Horde.

Goseakha répondit à l'appel de la steppe étant un ancien allié de l'empire des Steppes. 10 000 cavaliers rejoignent la Horde.

Zuh Tang lui ne répondit pas et resta muet. Et au contraire, Zuh Tang envoya un cavalier prévenir l'empire des Deux Gorges, un pari risqué mais si la guerre était gagnée les gains seraient immenses. Le messager partit en direction de la capitale de l'Empire à toute allure. Traversant monts et vallées pour enfin se trouver devant l'Empereur. "Ô mon empereur mon peuple vous annonce son aide contre les perfides cavaliers des steppes, ils sont en train de rassembler une Horde pour vous attaquer et détruire toute civilisation à l'est de notre beau continent. Il faut les arrêter où nous serons tous des esclaves de ses chiens galeux." Zuh Tang se tient prêt avec une armée de 30 000 hommes.

:globe: Royaume des Cinq Îles :globe:

Le moine est le représentant de Ranis envers le peuple, ils habitent des saints-monastères où ils prient pour le Salut des petites gens et des riches. Il existe plusieurs fête religieuse, le premier jour de l'an où une orgie peut être organisé mais sans étranger, appellé "Orgie de Ranis". Un trimestre plus tard l'orgie de Ranis, on sacrifie des ours et des mouettes, animaux présents sur les îles, leur sang nourit les âmes damnées qui iront rejoindre Ranis quand leurs sacrilèges seront pardonnés, cette fête est "Le festin des damnés". En fin d'année, on fête la naissance de Ranis par des accouchements publics, les cris de bébé bénissant les villes et les habitants. Le grand prêtre de Ranis s'occupe de l'administration, il découpe les terres et donne un monastère dans chaque parcelle de terre à administrer. Les moines sont des moines-guerriers ils savent se battre et peuvent défendre la population, ils enseignent à ceux qui peuvent se le permettre aussi. Ils peuvent se marier et avoir des enfants qui devront être eux-mêmes moines, la fonction étant héréditaire. Le Grand Prêtre de Ranis s'occupe des moines, il est le chef religieux de tout les Quintes et il est très respecté. Il sait se battre et devient un général pendant les guerres. Il dirige toutes les fêtes religieuses mais ne peut pas avoir de compagne bien que la plupart vive avec une concubine. Il distribue l'aumône, du pain et de l'argent pour les plus pauvres. Il s'occupe aussi des hôpitaux généraux, il soigne les patients avec l'aide des moines.
Ragnar prépara les navires, l'armée allait naviguer vers Kali, il était temps de se remplir les poches et tuer des sauvages. Les hommes embarquaient dans les navires, 30 navires allaient partir piller. Les alliés du Nord étaient arrivés et furent accueillis. Ensemble ils naviguèrent vers le Royaume Anka pour les piller et détruire leur misérable civilisation. Les cors de guerre résonnaient pendant le débarquement https://www.youtube.com/watch?v=IU5_uXeDpMs&list=PL09_IW9uBaFFAiBKJZI3Y5nMuVw3sIe6K&index=1 la guerre commence.

:globe: République des îles de Feu :globe:

-Capitaine, voile à l'horizon.

Un homme au visage taillé au couteau, de vilaine cicatrice couturant son visage aussi glabre que son crâne, voilà qui était le capitaine du Jugement des Charognes. Les Charognes était un surnom donné aux esclavagistes par les membres de la culture Eno, une des nombreuses sous cultures des îles. La plupart de leur membre étaient d'anciens esclaves libérés par les îles, ce qui faisait qu'ils avaient une haine particulière envers eux, et cela expliquait leur volonté systématique de piller ces navires dès que possible. Le Capitaine Aelnor se leva pesamment, se rendant à l'avant du navire, regardant un petit point fuir à l'horizon.

-Ils tentent de s'enfuir capitaine.

-J'suis pas aveugle Esmeralda, boucles la cinq minute et va dire aux gars de sortir les rames. On va le rattraper.

Attrapant un étrange appareil long, il plaça son oeil à une extrêmité, voyant soudainement bien mieux le navire.

-Vu sa forme c'est un putain d'esclavagiste.

Les hommes aux alentours ricanèrent.

-Allez au travail bande de larve !

Après une course d'une bonne demi heure, l'esclavagiste se voyait très distinctement. Ce genre de lourd navire n'avait aucune chance de battre en vitesse les navires des Eno, fait pour la chasse.

-Préparez vos armes les gars.

Son équipage était constitué d'une multitude d'ethnie différentes, et en conséquence, tous avaient un style particulier. Quelques archers Argani se postèrent sur le pont supérieur, tandis qu'une demi douzaine d'arbalétrier Adule vinrent les rejoindre. De la soute émergèrent quelques Ndogo armé jusqu'aux dents, suivis par d'autres types encore.

Tous se baissèrent pour laisser le moins d'information possible aux ennemis sur leur nombre. Le capitaine regarda sa proie se rapprocher de plus en plus, puis fit un signe de bras, la bannière des pirates Eno se levant alors dans le ciel.

Une sorte de gros lard de Zingari apparut à l'arrière du bateau, lui gueulant des trucs incompréhensibles. Il se tut rapidement, un archer lui ayant filé une flèche dans la gorge. Aussitôt le reste des pirates se leva et se mit à arroser le pont ennemi. Ceux-ci ripostèrent, mais plus faiblement, n'était pas un équipage de combattant. Aelnor comptait une bonne dizaine de tué et de blessé dans les rangs adverses tandis qu'il n'en comptait qu'un. Le reste s'était barré dans la soute ou dans toute cachette à l'abris des flèches.

-Rangez les rames, préparez vous à l'abordages !

Alors que le choc des deux navires se fit ressentir, les Eno déboulèrent sur le pont en une vague furieuse. Des dizaines de gueulards de toute les couleurs, bariolé de différentes armes et protections vinrent se frotter aux marins du navire esclavagiste. Les rares qui résistèrent périrent par le fer assez rapidement. En moins d'une dizaine de minute l'affaire était réglé. Les Zingari de l'Empire des Deux Gorges avaient jeté leur armes par terre.

-Alors y'a quoi?

-Les rameurs, et pas mal de femme et d'enfant dans la soute.

-Combien de prisonnier?

-Une quinzaine. Comme d'hab chef?

-Ouai, emmène nos frères et soeurs avec nous, et égorge le reste d'entre eux.

:globe: Confédération du Val :globe:

Après avoir offert quelques soieries et babioles dénichés chez Giovanni au Baron du Barbellois pour le remercier de son hospitalité, Hugues revint sans escarmouche à Calanque, en faisant un détour pour passer dans la baronnie de Crulympe. Le baron local était réticent à l'importance que se donnait le Grand-Duc, qui n'hésitait pas à outrepasser la coutume et se mêler des affaires internes de certaines baronnies, dont la sienne, cruciale car à l'intersection entre le Ranil et Petit-Val, un fleuve secondaire. C'est au prix de ce qui restait du butin de la tanière du loup qu'Hugues convint le baron de lui donner sa fille en mariage, occasion pour lui de garder sous sa coupe la baronnie. Il ne lui restait que la petite épée de Giovanni, à pommeau d'or.
A Calanque, c'était donc l'effervescence : on préparait à la fois la fête du solstice d'hiver, le premier anniversaire du règne d'Hugues Ier et le mariage d'Hugues avec la petite Hélène de Crulympe.

La fête du solstice est d'une grande importance pour tous les Adules, plus grande fête religieuse de l'année, on y supplie Ranis de purifier corps et esprit lors d'une grande prière collective, puis on le prie pour cette année soit paisible et riche; par le biais du rituel des Pétales. Tous les habitants du Val jettent des pétales de roses dans le Ranil et ses affluents, symboles du Val, pour nettoyer celui-ci symboliquement des impuretés qui pourraient nuire à la Confédération.

Il fut décidé de fêter les trois événements dans la même journée. Les grands du monde accessible seraient tous invités, pour qu'ils puissent admirer les splendeurs que la Confédération du Val est capable de façonner.

"La préparation de la grande journée avance, grondait Hugues dans ses appartements, mais ils ne pourront pas voir CA, dit-il en pointant du doigt le bidonville du nord sur la carte de Calanque. En plus d'être laid et malpropre, ce nid à Aranis pue et répand la délinquance dans MA cité.Comment se débarrasser de ces Aranis ? Les exterminer ? Non, trop de monde , et le peuple finirait par le savoir...
- Majesté... ce ne sont pas des Aranis, mais des Arganis... Euh, excusez moi. Pardon. Je n'ai rien dit ! se risqua Philippe Rasteau, l'homme qu'Hugues avait chioisi pour l'organisation de la fête.
- Et a-lors ? répondit Hugues, agacé. Laissez-moi gronder tranquille, je ne vous ai pas demandé votre avis. Puis merde, c'est moi le chef ici ! J'appelle les Aranis Arani si j'en ai envie ! Foutez-moi la paix, ou je vais m'énerver. Disparaissez ! "
Les murs ont des oreilles dans un château grand-ducal... La cour s'amusa à parler des Aranis en lieu et place des Arganis pour se moquer discrètement du Grand-Duc, et la mode se répandit même chez le bas peuple. Arani devint vite un surnom méprisant pour cette ethnie malmenée à Calanque.

Le soir de cette discussion, Hugues alla visiter sa chère Aliénor pour trouver du réconfort... On ne l'avait pas contredit directement et frontalement depuis beaucoup, beaucoup de temps. Aliénor était inquiète aussi :
"Mon petit Hugues, quand tu seras marié à la crevette ... - "la crevette" était un surnom qu'Aliénor et Hugues donnait à Hélène de Crulympe, la futur grand-duchesse - tu n'arrêteras pas de venir me voir, hein ?
- Mais Lili, bien sûr que non ! répondit Hugues avec entrain, mais aussi une pointe de mépris. Ca fait partie du décorum d'un grand seigneur d'avoir une favorite. D'ailleurs, je vais lui conseiller de se trouver rapidement un amant, si elle n'en a pas un. Depuis quand "mariage" est synonyme d'amour, voire pire d'amour exclusif ? Non, tu resteras ma petite Lili... J'espère qu'elle a déjà trové un amant, elle risque de s'ennuyer, avec moi..."
Ils se dirigèrent ensemble en direction du coucher, et passèrent la nuit ensemble.

Quelques jours après, une descente de gardes dans le bidonville arracha tout le monde. Hommes, femmes, enfants. Une quarantaine d'entre eux, un peu trop zélés dans leur résistance, perdit malencontreusement la vie. Les enfants mâles de moins de deux ans furent envoyés dans des orphelinats et destinés à une carrière de militaire à Calanque, en tant que garde ou chevalier, selon leur aptitude. Les petites files furent destinées à des orphelinats. Les autres allaient être vendus comme esclaves.

C'est pourquoi Hugues envoya discrètement des missives aux acheteurs potentiels, pour éviter que Sfarenzi ne le sache. L'esclavage, ce n'était pas tellement son truc.

:mac: via Kaesos, Khalefim, Rédanie, royaume Azo :mac:

Vendons 2000 esclaves de tous âges et tout types à bas prix, de type Ara Argani. Bonne qualité, enfants pouvant être dressés comme vous le souhaitez, nous livrons. Proposez offres si intéressés

Il s'agissait maintenant d'inviter le monde à la grande fête

:globe: via Farhen-Zo, Rédanie, Kaesos, Khalefim, Azo :globe:

A l'occasion du solstice d'hiver, du premier anniversaire de son règne, ainsi que de son mariage avec Hélène de Crulympe, Sa Sérénissime Majesté le Grand Duc de la Confédération du Val Hugues Ier, Baron de Calanque et Baron émérite du Mervinois, invite solennellement les grands de ce monde et leur cour à Calanque. Il sera l'occasion pour eux de tisser des liens plus forts encore avec la Confédération, de découvrir les splendeurs qu'elle recèle. Hugues se fera une grande joie de vous accueillir dans sa magnifique capitale.
Aliénor de Mercie, secrétaire et diplomate au service de sa Majesté le Grand-Duc.

:globe: République de Farenzho via Confédération du Val :globe:

De retour à Farenzo, Aurellio s'affaira a ses taches routinières, à résoudre les conflits entre guildes, à défaire les complots entre maisons, à matter les bandits mais aussi à organiser efficacement le monopole métallurgique que la République avait entre ses mains : les métaux qu'ils achetaient à leur fidèles alliés Vallois, au métaux au prix en rabais chez les Kaesos, ainsi que les importants gisements qu'exploitait la Maison Simor. Se métal n'était pas vendu brut, mais traité et travaillé en armes, armures, outils et pièces de tout genre et de haute qualité. Les magnifiques bagues en argent vallois faites par les artisans de Yamagna sont prisée partout dans le monde connus, et restent un cadeau de très haut apanage.

C'est pour cela qu'Aurellio décida d'amener avec lui, en tant que cadeau d'amitié, deux bagues argentée sertie d'une pierre de lune, l'une noire et l'autre blanche.

http://www.noelshack.com/2016-16-1461433887-bague-de-yamagna.jpg

Cher Grand-Duc,

C'est avec plaisir que je viendrais assister à cette grande cérémonie qui se tiendra à Calanques, il en serra également une occasion pour discuter de l'état de nos nation et de parler du futur qui nous attends.

Aurellio Sfarenzi, Régent de la République de Farenzho.

:globe: Kal'hefim Zerean via Confédération du Val :globe:

Salutation j'ai reçu votre lettre ce matin et je constate que vous avez progressé en diplomatie j'en suis impressionné concernant l'offre , j'offre 3 coffres d'or pour les 2000 esclaves que je veux en totalité en bonne santé de même je viendrais accompagner de ma flotte disons une trentaines de navires ma garde et 150 Pieux Dalkitab il parait que les environs ne sont pas surs , nous nous verrons bientôt j’espère en éspérant que vous vous porterez bien d'ici la
Arnan Zerean

:globe: Royaume d'Azo :globe:

https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1461407976-azo-carte.png

Roi actuel :d) Alogh II

Population actuelle (~210 Ap.Gv) :d) 39 760 000 hab.

Sous-groupes ethniques :d) Zingari-Ho (~24 millions) – Zingari-Ao (~15 millions)

Armée (Défenseurs Royaux + milices Ohkons + autres) :d) 190 500 hommes – 11 000 chevaux

:gba: Les forts :gba:

https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1461492874-asofor.png https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1461493657-gr149-9-fhc.jpg

Il est su depuis longtemps que le Royaume d'Azo est ouvert à ses voisins, un peu trop du point de vue sécuritaire. En effet, le conseiller militaire du Roi, Kadoan, insista sur l'importance de mettre sur pied quelques fortifications aux frontières. Alogh II désigna la frontière avec l'Empire des deux gorges comme la zone prioritaire des futures constructions. Kadoan et le Roi décidèrent d'en bâtir quatre, trois à la frontière avec l'Empire des deux gorges et un à la frontière avec le Royaume de Xuniya. Les forts seront à la frontière, éloignés des communautés et autonomes. La fortification comprendra une muraille extérieure avec des tours, et une plus petite à l'intérieure. Chaque fort abritera 150 soldats[1] et 15 cavaliers en son intérieur, mais des campements peuvent être installés à leur périphérie augmenteront le nombre de soldats à 1000-1500 et le nombre de cavaliers à 120-180. La construction des quatre forts à débutée en milieu d'année 210 et devra terminer en 212.

[1] : https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1461412534-milice.jpg

:gba: Famille Royale :gba:

https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1461497158-igazo.png

Le Roi actuel, Alogh II (183 Ap.Gv - vivant), appartient à la lignée Haoiy. La lignée Haoiy descend de Kilang, fils d'Okong[1]. Le grand-père d'Okong était Kiyo Ier (602 Av.Gv – 560 Av.Gv), premier roi du Royaume d'Azo. Alogh II a succédé à son père, Alogh Ier (172 Ap.Gv – 201 Ap.Gv), après sa mort en 201, à l'âge de 18 ans. La première femme du Roi est Oyanchimiyg qu'il a épousé en 202. Alogh II a trois frères et une sœur qui vivent tous dans la capitale. Leur mère, Nerigüi, encore vivante est retournée vivre dans sa communauté, les Kiaan-Haniyng (des Zingaris-Ho), au Nord du Royaume, près du littoral. La tante du Roi, Borte-Ha est l'une des plus grandes vendeuses de chevaux de race Tymonong[2] du Royaume d'Azo. Elle possède quatre élevages près de la capitale, pour un total de 212 chevaux. Elle emploie 45 personnes pour s'occuper de ses chevaux. Le Roi a eu une fille, Shaïohtai, avec sa femme, Oyanchimiyg.

[1] : https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1461411385-kiyo.png
[2] : https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2016/16/1461413828-tymonong.jpg

on est en 212 ap.gv